DOSSIER



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Satisfaits, et pas seulement en football !

Malgré le sursaut footbalistique des dieux du stade qui ont enfin quitté le camp de l'Allemagne pour rejoindre celui de la France, l'ambiance est à la morosité, alors que nous sommes juste à la période de l'année où, habituellement, l'arrivée de l'été et la perspective de la coupure estivale favorisent plutôt l'humeur légère et enjouée. Pour contrer les effets de ce printemps pourri, météorologiquement, socialement et politiquement, arrêtons-nous sur les moyens de développer et de cultiver notre satisfaction au travail.

Depuis dix ans, les publications sur les risques psychosociaux se sont centrées sur l'ensemble des contraintes qui rendent le salarié victime de son environnement de travail. D'un côté, les conditions de travail, de l'autre le mode de management. Chacun, s'il cherche bien, peut trouver des sources d'insatisfaction tant dans son poste de travail que dans l'attitude de son chef. C'est peut-être vrai, mais cela accrédite le principe du salarié qui subit. Heureusement, les avancées récentes de la psychologie permettent de sortir de cette posture passive. La psychologie positive, la pleine conscience et la méditation font découvrir que les sources de satisfaction dans la vie quotidienne sont innombrables mais que, la plupart du temps, on passe à côté sans en profiter. Un peu comme un bon vin lors d'un repas animé. Tout à la conversation, on s'aperçoit qu'on a vidé son verre sans l'avoir vraiment goûté. De la même façon, tout à notre impatience d'agir, à notre zapping permanent d'un écran à l'autre, à l'enchaînement des réunions ou à la revue des e-mails, nous survolons nos journées. Leur saveur est noyée dans l'action. Or la satisfaction est d'autant plus perçue qu'on s'y arrête, qu'on en comprend les ressorts, qu'on en parle avec des tiers, voire qu'on s'y prépare. En somme, la satisfaction est en nous. Mais faute de s'y arrêter, on la gâche. Ainsi, le plaisir d'avoir appris quelque chose qui nous donne le sentiment d'être plus intelligent, le moment de convivialité gai et chaleureux, la résolution d'un problème complexe, passent comme s'il s'agissait de banalités. C'est à peine si nous en gardons une perception positive. C'est ainsi que nous ne goûtons pas le sel de la vie. Les dirigeants, toujours pressés, sont probablement, plus encore que les autres, des candidats à la vie fade.

Dommage pour eux mais aussi pour l'ensemble de l'entreprise. Car leur satisfaction diffuse bonne humeur et esprit positif. Ne réussissent à capter les bons profils en recrutement que les managers qui savent rayonner de leur satisfaction !

A cultiver pendant les vacances ! 
 


Régis de la CROIX-VAUBOIS
Président


 

R.C.V. Conseil se développe, rejoignez-nous !

Dans le cadre de son développement, notre Cabinet étoffe son équipe par l'embauche d'un Responsable Recrutement. Vous trouverez le descriptif complet de ce poste par le lien suivant : Descriptif poste Responsable Recrutement - R.C.V. Conseil

Nous attendons votre dossier de candidature : direction@rcv-conseil.com

A défaut, n'hésitez pas à relayer cette offre auprès de toute personne de votre entourage personnel ou professionnel susceptible d'être intéressée.

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Le Chargé de Recrutement de la quinzaine

Louis-Marie MOINIER : Titulaire d'une Maitrise d'Economie Appliquée et Sciences Politiques (2009) et d'un Master en Management des Ressources Humaines (2010), après une première expérience comme Chargé de recrutement, il est intervenu en gestion des ressources humaines sur un site d'ALSTOM en Inde et comme Consultant SIRH au sein d'une SSII, conseil en organisation et management des ressources humaines ; il intervient chez R.C.V. Conseil comme Chargé de recrutement, responsable des secteurs Industrie, Génie Civil, Sols, VRD, Travaux Publics, Environnement, Travaux Spéciaux, Rail, Contrôle Technique, Expertise, Structures.


3 questions à Louis-Marie MOINIER :

Vous êtes responsable chez R.C.V. Conseil du secteur Génie civil, Travaux Spéciaux, Sols, Souterrains, Structures ; quelles sont actuellement les répercussions des projets du Grand Paris sur vos recrutements ?
Les répercussions sont directes sur notre volume d’activité qui s’est considérablement accru au cours de ces derniers mois. Concernant la nature des demandes, nous sommes toujours sollicités pour des postes se situant en amont des opérations (études de prix, études techniques). Les demandes en travaux sur ses activités spécifiques interviendront dans un second temps, probablement d’ici la fin de l’année 2016.

Quels conseils donneriez-vous à vos clients pour gérer et anticiper au mieux tous ces besoins en recrutement ?
Ne pas se laisser surprendre par le temps et la pénurie prévisible ! En cette période de reprise économique, où le Grand Paris va occuper la quasi-totalité des grands groupes du BTP, nous risquons fortement de rencontrer une tension sur le marché. C’est donc dès maintenant que les bons candidats sont à capter pour les opérations du Grand Paris avant qu’ils ne soient trop engagés dans leurs entreprises actuelles. Et comme souvent, le recrutement de bons profils encourage une spirale vertueuse de recrutements de qualité…

Quel est l’état d’esprit des candidats que vous approchez et comment capter les meilleurs ?
Nous rencontrons actuellement deux types de situation : certains candidats sont tout à fait ouverts au marché en vue de se positionner au mieux dans le cadre de ce nouveau cycle économique qui démarre. A contrario, nous croisons également des candidats qui préfèrent attendre d’y voir plus clair sur les perspectives d’évolutions en interne avant de rentrer dans une démarche d’ouverture. Dès lors, le timing et notre capacité à nous montrer très réactifs sont les éléments clés dont nous disposons pour capter les meilleurs profils. 


 
 

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R.C.V. Conseil, l'ensemble de nos prestations :

- Recrutement,
- Prestation de Chasse (contrat de mission), 
- Dossier d’Evaluation (approche directe),
- Prise (contrôle) de références,
- Bilan de compétences (formation), 
- RPO (externalisation du recrutement),
- Outplacement (reclassement), 
- Conseil en orientation et recherche d’emploi (formation), 
- Portage salarial, 
- Test de personnalité ou d’aptitude.

N'hésitez pas à nous consulter.


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Emploi des cadres : l'embellie se confirme, et pour au moins 2 ans !

L'Apec a revu à la hausse ses prévisions d'embauche de cadres en 2016 : la barre des 200.000 recrutements devrait être atteinte, une première depuis 2008 (avec Les Echos).

La reprise de l'emploi des cadres se confirme et tend même à s'accélérer. C'est ce qui ressort des prévisions actualisées qu'a publié mercredi dernier l'Association pour l'emploi des cadres (Apec). Début février, son baromètre annuel tablait sur 191.000 recrutements de cols blancs en 2016, un total qui prolongeait déjà le net rebond entamé en 2014. Désormais, s'appuyant sur la prévision de croissance de 1,6 % établie par l'Insee, l'Apec estime que « les fondamentaux d'une croissance robuste sont désormais en place » et que les recrutements devraient alors atteindre la barre des 200.000 dans l'année, en progression de 10 % en un an, retrouvant ainsi son plus haut niveau depuis 2008. Cette tendance, établie via un modèle économétrique, est confirmée par les études complémentaires effectuées sur le terrain par l'Apec, tant dans les cabinets de recrutement, et R.C.V. Conseil illustre parfaitement cette tendance, qui témoignent d'un net rebond de leur activité au premier semestre, que dans les entreprises : 52 % affirment qu'elles embaucheront au moins 1 cadre au cours du troisième trimestre, soit 4 points de plus que l'an passé à la même époque.

Si la croissance se maintient à ce niveau, la dynamique devrait même se poursuivre en 2017 et 2018, anticipe le baromètre, avec alors 210.000 puis 220.000 recrutements dans l'année. Cela constituerait de nouveaux records, supérieurs aux niveaux atteints avant la crise, de 2006 à 2008, sans pour autant bénéficier d'une croissance aussi marquée qu'alors. Cela rappelle que la hausse en cours des recrutements de cadres, si elle résulte en partie d'un contexte économique un peu plus favorable, est aussi le fruit d'une évolution structurelle du salariat, avec des besoins accrus de compétences dans les entreprises sur fond de tertiarisation de l'économie. Le phénomène est aussi alimenté par la pyramide des âges : de 51.000 à 55.000 cadres en poste devraient partir à la retraite chaque année de 2016 à 2018, contre 46.000 à 48.000 par an ces trois dernières années.

« Reste un aléa majeur à suivre de près : celui de l'impact de la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne sur l'économie française », nuance toutefois Jean-Marie Marx, directeur général de l'Apec. Mais, même en cas de coup d'arrêt à la reprise économique, les évolutions démographiques et la part croissante des cadres dans le salariat permettraient aux recrutements de cols blancs de demeurer à un niveau assez élevé, estime l'étude de l'Apec : sur la base d'une croissance retombant à + 0,5 % et + 0,7 % en 2017 et 2018, son modèle économétrique table tout de même alors sur quelque 195.000 embauches de cadres ces deux années.

Le marché est tiré en particulier par les besoins dans l'informatique, avec environ 40.000 embauches attendues. Les fonctions commerciales et R&D sont aussi recherchées, avec plus de 30.000 recrutements escomptés. Le secteur des services serait une nouvelle fois la véritable locomotive du marché. Nouveauté de 2016, cette reprise profite enfin clairement aux jeunes diplômés, délaissés ces dernières années. « Il y a un effet de rattrapage et aussi les conséquences de l'arrivée sur le marché des premiers diplômés avec des compétences nouvelles et très recherchées, dans le Big data ou le cloud en particulier », analyse-t-on à l'Apec. Jusqu'à 45.000 jeunes diplômés pourraient ainsi être embauchés cette année, soit 10.000 de plus qu'il y a deux ans. Les niveaux record d'avant-crise ne seraient pas dépassés mais quasi rattrapés.


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Un cadre sur quatre a changé de poste en 2015

19 % des cadres ont pris un nouveau poste en interne et 6 % ont changé d’entreprise l’an dernier, selon une étude de l’Apec (avec Les Echos).

Selon l'édition 2016 de l'étude annuelle de l'Apec sur la mobilité des cadres, un col blanc sur quatre a changé de poste l'an passé, une proportion globalement stable depuis une dizaine d'années. Dans le détail, 6,4 % ont changé d'entreprise, tandis que 19 % ont connu une mobilité interne, en changeant stricto sensu de fonction (8 %) ou en changeant de service ou d'établissement (11 %).

Le taux de mobilité externe, traditionnellement lié à la ­conjoncture, confirme ainsi le rebond déjà enregistré en 2014, au moment de la reprise du marché de l'emploi des cadres. A noter, spécificité 2015, que le mouvement a plus profité aux femmes (8 % ont changé d'entreprise) qu'aux hommes (5 %) : c'est le résultat d'une reprise plus marquée des embauches dans les services et dans les fonctions RH notamment, des domaines plus féminisés.

Dans 60 % des cas, le cadre est à l'origine du changement, dans 20 % des cas la décision est concertée avec l'employeur. Seul un sur cinq a ainsi bougé car il se sentait poussé dehors ou a été licencié. Comme toujours, la mobilité externe décroît avec l'âge : elle a ­concerné 19 % des moins de 30 ans pour 3 % des plus de 50 ans.

La mobilité interne reste stable
La mobilité interne, moins liée à la conjoncture qu'à la vie interne aux entreprises, reste particulièrement stable année après année. Dans près d'un cas sur deux, elle fait suite à une réorganisation de l'entreprise. Dans six cas sur dix, l'entreprise est à l'origine de la mobilité interne, pour autant, seul un cadre sur cinq estime qu'elle lui a été imposée. Sans surprise, le taux de mobilité interne évolue avec la taille de l'entreprise (23 % dans les plus de 1.000 salariés, 13 % dans les moins de 50).

L'étude pointe aussi le fait que la mobilité est désormais intégrée par les cadres comme une composante inhérente aux carrières. A une très large majorité, les 75 % de cadres n'ayant pas bougé en 2015 se disent satisfaits de leur emploi. Mais les deux tiers ont pour autant gardé un oeil attentif sur le marché ou même entamé des démarches actives de mobilité, en répondant à des offres ou en sollicitant leur réseau. Dans l'ensemble, 60 % des 3.000 cadres interrogés par l'Apec envisagent de changer de poste ou d'entreprise, voire de créer leur entreprise, dans les trois années à venir. Quand ils veulent changer d'entreprise, l'impossibilité d'y évoluer et la volonté de découvrir d'autres horizons sont les principaux motifs avancés.



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Les tendances de l'opinion (avec notre partenaire "La Lettre de l'Opinion")

Back to school
Près de huit candidats sur dix (79,6 %) ont décroché leur bac du premier coup, un résultat en hausse de 0,8 point sur un an. Le taux de réussite s’est élevé à 81,6 % dans la voie générale, à 79,9 % dans la voie technologique et à 75,5 % dans la voie professionnelle.
Elabe - 21 juin 2016
 
Coup au moral en juin pour les chefs d'entreprise

Sans doute sous l’influence des divers blocages qui accompagnent la loi travail, le mois de juin 2016 est le pire jamais mesuré depuis le début du baromètre, avec un indice de l'optimisme à 98 en baisse de 11 points, et seulement 34 % des participants qui pensent que cela ira mieux demain (en baisse de 3 points).
Plus encore, les chefs d’entreprise confiants dans l’avenir de leur entreprise ne sont plus que 57 %, contre 64 % il y a un mois. Toujours inquiets (36 %) ou méfiants (28 %), les entrepreneurs semblent souffrir de ce printemps social agité sur lequel se sont greffées les inondations début juin, et avant de mesurer dans les prochains mois l’impact du récent Brexit.
OpinionWay - 30 juin 2016

Etre vieux au soleil ou au bord de la mer, c'est être plus heureux
Les plus de 65 ans ont un niveau de bonheur qui demeure nettement supérieur à la moyenne nationale… 71 % des seniors se déclarent personnellement heureux. Ils affichent un moral nettement supérieur à la moyenne des Français (50 %).
30 % des plus de 65 ans ont placé en 1e position la région PACA comme la plus agréable pour vivre, suivie de la Bretagne (27 %) et du Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées (22 %). Le podium reste identique concernant les régions jugées les plus agréables pour partir en vacances. 
 BVA - 29 juin 2016

Question d'argent:
46% des Français affirment avoir connu une baisse de revenu au cours des 24 derniers mois et 19% déclarent avoir dépensé un peu d’épargne pour couvrir les dépenses courantes. Une fois le loyer, l’électricité, les impôts, le remboursement de crédit et les charges diverses payés, 52% des Français subissent des difficultés pour faire face aux besoins de la vie quotidienne (manger, se vêtir, se déplacer, se soigner). 
BVA  - 27 juin 2016

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Régis, Louis-Marie, Virginie, Amélie, Catherine, Stéphen et Nathalie.
Et Xavier PIETTRE.

Toute l’équipe du Cabinet R.C.V. Conseil se tient à votre disposition.

Bien cordialement,


Régis de la CROIX-VAUBOIS
Président
144 Bureaux de la Colline - 92213 Saint-Cloud cedex
Tel : 01.55.38.75.00 - Fax : 01.55.38.75.09
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