DOSSIER 



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Tous en mode start-up ?

Les start-up sont un véritable phénomène de société. Un tiers des élèves des grandes écoles de commerce veulent créer la leur. Pas une entreprise qui ne rêve de développer un « esprit start-up ». Sans toujours être clair sur ce que cela veut dire.

Souvent, ce qu'ils imaginent, ce sont des jeunes qui travaillent jusqu'à 2 heures du matin... quand leurs propres salariés de la génération Y ne leur parlent que vacances et qualité de vie au travail ! Si les start-up sont si florissantes, c'est qu'elles correspondent exactement à cette nouvelle génération.

D'abord, parce que ce sont des lieux où l'on apprend. Certes on apprend partout, mais dans une start-up, apprendre est vital. L'essai-erreur est omniprésent sans connotation culpabilisatrice. Au contraire, ce qui compte, c'est d'essayer. A ceux qui ont encore l'énergie de tenter, le passé ne pèse pas comme une accumulation de frustrations exprimant le poids de toutes les tentatives ratées. Plus encore, étant donné que l'hypothèse de l'échec est intégrée et acceptée par tous, il règne dans ces organisations une certaine légèreté. Et c'est aussi ce sentiment qui favorise l'audace. Puisqu'il n'y a rien, ou si peu à perdre, on peut tout essayer.

On y trouve ensuite une véritable ambiance collaborative. Pas de silos, pas de territoire, peu de rivalités. L'interdépendance est une évidence, un postulat de base qui induit un jeu relationnel centré sur le travail en équipe. Ce qui n'empêche pas l'autonomie des acteurs. Chacun sait ce qu'il a à faire pour faire avancer le projet, et s'organise pour le faire à sa façon et à ses horaires. Il prend les initiatives qui lui paraissent utiles sans avoir à chercher des validations.

Tout cela est induit par un leadership renouvelé. Pas de visionnaires, mais des leaders habités par leur projet. Ils ne savent pas comment ils vont le mener mais ils ont la certitude de son utilité.

Le chemin, ils le trouveront avec leur équipe. Ils incarnent ce à quoi ils croient, tant dans leur façon de travailler que dans leur style de vie. Ils ne cherchent pas à contrôler mais au contraire à ce que la force créative de leurs équipes les dépassent et les surprennent.

C'est le sens du projet qui donne l'énergie à tous. Voilà un fonctionnement dont beaucoup d’entreprises mais aussi d’organisations voire de pays pourraient s’inspirer… 
 
 

Régis de la CROIX-VAUBOIS
Président

 


 

Le Chargé de Recrutement de la quinzaine

Stéphen de MASCUREAU : Titulaire d'une Licence d'Histoire et d'un Master 2 Sécurité Défense obtenu à Paris II Assas en 2014. Il a poursuivi son cursus au sein de l'Ecole de Guerre Economique de Paris en y obtenant le MBA d'Intelligence Economique (géoéconomie, négociation internationale, conquête de marchés, communication de crise, lobbying, cyber-sécurité, veille stratégique) ; il y a mené une mission comme Chef de Projet en Intelligence économique pour un grand avionneur. Il a ensuite réalisé une mission de Chef de Projet anti-piratage pour un média télévisuel. Il est Chargé de recrutement chez R.C.V. Conseil sur les activités Génie Civil, Sols, VRD, Travaux Publics, Rail, Travaux Spéciaux, Environnement, Contrôle Technique, Expertise, Structures.


3 questions à Stéphen de MASCUREAU:

Le marché du recrutement semble à nouveau très actif depuis la rentrée ; comment cela se manifeste-t-il ?
Oui, en effet, cela se manifeste notamment par de nombreuses sollicitations de la part de nos clients confrontés à l’urgence des besoins, mais aussi au souci d’une grande qualité des profils à recruter et d’une adéquation qui doit être parfaite avec leur besoin. Point positif, les profils que nous approchons sont généralement actuellement davantage à l’écoute. Toutefois, compte tenu du contexte tendu du marché du recrutement, il est nécessaire d’être extrêmement réactif sur l’ensemble des étapes du recrutement afin de se donner toutes les chances de le conclure.

Vous intervenez aussi bien pour des grands groupes que pour des TPE ; en quoi votre intervention est-elle aussi utile et adaptée pour les uns que pour les autres ?
Notre expertise en recrutement se traduit avant tout par l’écoute et la connaissance de nos partenaires. Petits ou gros, tous sont confrontés aux mêmes difficultés de recrutement ; les groupes recherchent parfois des expertises très pointues et donc très rares, ou doivent recruter de nombreux profils au même moment d’où un besoin d’une aide externe ; les PME et TPE, bien que séduisant souvent les profils par leur taille, ont souvent du mal à approcher les profils à potentiel et ont besoin d’un Cabinet pour les faire connaitre et valoriser leur structure. Dans les deux cas, nous pratiquons les mêmes méthodes et apportons les mêmes garanties notamment de résultat.

Votre périmètre d’intervention couvre notamment les métiers du génie civil, des sols, des cimentiers,… Quelle est la situation du recrutement dans ces métiers très techniques ?
Les travaux du Grand Paris vont mobiliser l’ensemble de ces acteurs et la demande est déjà très forte. Or, ces métiers demandent une réelle expertise qui ne s’acquiert qu’au fil des années. Du fait de la rareté de ces profils qui bénéficient aujourd’hui souvent de belles perspectives en interne, il y a une véritable concurrence et difficulté à trouver des candidats ouverts au marché de l’emploi. Dans ce domaine, nous constatons un décalage de plus en plus important entre l’offre et la demande. 
 
 


 

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Un salarié sur huit en France travaille pour une entreprise étrangère.

Près de 2 millions de Français travaillent dans une entreprise dont le siège social est situé à l'étranger ; un chiffre stable après une très forte diminution en 2009 (avec Les Echos).

Un salarié français sur huit est employé dans une firme sous contrôle étranger selon l'Insee. Fin 2013, les multinationales employaient 7,1 millions de Français. Parmi ceux-ci, 1,85 million travaillaient dans une entreprise dont le centre de décision est situé à l'étranger. L'emploi dans ces firmes étrangères a subi une chute de 11 % en 2009, à la suite de la crise financière. Mais, « au cours des quatre années suivantes, les effectifs sont restés quasi stables, avec une baisse globale de 1 % », détaille l'institut statistique.

Dans l'Hexagone, les entreprises étrangères sont surreprésentées dans le secteur de l'industrie. En 2013, 37 % de leurs salariés sont employés dans ce secteur contre 27 % pour les multinationales françaises. Dans l'industrie du papier et du carton, ces entreprises sont même majoritaires. Elles concentrent 53 % des emplois salariés. De même dans la métallurgie avec un taux de 50 %.

Ce phénomène peut refléter « la volonté de certaines entreprises de garder la maîtrise d'une technologie innovante ou d'un savoir-faire spécifique, explique l'Insee. S'implanter en France plutôt que d'y sous-traiter sa production » peut permettre à la multinationale « de rester la seule à exploiter sa technologie. » Autre raison avancée par l'Institut : rapprocher les unités de production des marchés finaux pour réduire les coûts de transport des biens produits. En cinq ans, la part des salariés des firmes étrangères travaillant dans l'industrie a toutefois diminué de 6 points.

UE, Etats-Unis et Suisse en tête

Sans surprise, le trio de tête pour l'origine de ces firmes étrangères est composé de l'Union européenne, des Etats-Unis et de la Suisse. A la fin de l'année 2013, l'Insee estimait à 61 % de l'emploi salarié sous contrôle étranger la part travaillant dans une firme de l'UE hors France (soit 1,13 million de salariés). L'Allemagne et le Royaume-Uni sont les deux pays au sein de l'Union dont les multinationales emploient le plus de salariés en France. Pour le reste, les entreprises dont le siège social est aux Etats-Unis concentrent 22 % des salariés employés par des firmes sous contrôle étranger, tandis que la Suisse en emploie 8 %.

Les firmes des pays émergents restent rares. Celles des fameux Bric (Brésil, Russie, Inde, Chine) ne concentrent que 1 % de l'emploi salarié des multinationales étrangères. Néanmoins, le nombre de salariés travaillant pour l'une de ses firmes croît nettement. Entre 2008 et 2013, il a augmenté de 31 %. Mais il partait de très bas.


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L'immobilier en forme !

La conjoncture est excellente pour les projets d'achat de bien immobilier dans l'ancien. Les planètes sont en effet favorablement alignées, entre des taux historiquement bas et des prix qui restent abordables (avec Economie Matin).

Au mois d'août, les banques ont prêté aux particuliers à un taux de 1,48 % en moyenne. Certaines d'entre elles contactent même leurs clients afin de renégocier leurs crédits à des taux plus proches des niveaux actuels ! Ces petites attentions montrent que le secteur de l'immobilier, en particulier l'ancien, est en plein forme et que l'activité y est soutenue.

Des prix contenus

Cela se voit également au niveau des prix, qui restent contenus après quatre années de baisse. Les principaux réseaux d'agences immobilières annoncent des hausses du prix du mètre carré situées dans une fourchette entre 1,3 % et 2 % au troisième trimestre. À Paris, les prix sont plus élevés qu'ailleurs, et leur progression un peu plus importante, mais cette hausse, comme partout ailleurs en France, serait déjà en train de s'essouffler d'après les professionnels.

Cercle vertueux pour l'immobilier ancien

Ceux qui recherchent un bien immobilier et les vendeurs sont entrés dans un cercle vertueux, chacun comprenant bien les intérêts de l'autre. Combien de temps cela peut-il durer ? Le plus longtemps possible évidemment, espèrent les professionnels du secteur. Mais dans quelques temps, la BCE pourrait siffler la fin de la partie, en exigeant des banques des garanties plus importantes pour les accorder des crédits immobiliers.



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Les Français généreux !

Même si « ça va mieux », la crise et les difficultés n'ont pas complètement disparu. Malgré tout, les Français savent se montrer généreux, comme le démontre le dernier rapport annuel de France Générosités (avec Economie Matin).

La générosité, les Français connaissent. Près de la moitié d'entre eux (46 % exactement) donnent à une association caritative au moins une fois par an ; trois Français sur cinq donnent régulièrement, d'après France Générosités, un syndicat professionnel regroupant 89 structures parmi les plus représentatives en France. Le rapport 2015 montre même que les dons ont augmenté l'an dernier de 1,73%.

En 2015, une hausse moins importante qu'en 2014

C'est un bon résultat, mais moins important que l'année précédente où la croissance avait été de 2,4 %. Le syndicat explique que les attentats dans la région parisienne, en particulier ceux de novembre, ont eu un effet douche froide sur les donneurs. Mais néanmoins, cela n'a pas empêché les Français à donner plus d'argent, en particulier les donateurs par chèque — les plus nombreux puisqu'ils représentent 57 % des dons. 

Un clivage entre les générations

Ces derniers ont donc donné 63 euros en moyenne en 2015, contre 60,6 euros l'année précédente. La moyenne des dons par prélèvement automatique (43 % des cas) s'établit à 12,8 euros par mois, tandis que pour le don en ligne (6 %), elle est de 104. Ces deux dernières moyennes n'ont pas changé d'une année sur l'autre. Généralement, les plus de 50 ans donnent plus volontiers aux associations qui protègent les plus faibles, alors que la catégorie des moins de 50 ans privilégie plutôt l'aide d'urgence internationale, l'aide aux victimes ou encore la protection des animaux.



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Régis, Stéphen, Virginie, Sophie, Amélie, Nathalie, Jeanne, Louis-Marie et Catherine.
Et Xavier PIETTRE.

Toute l’équipe du Cabinet R.C.V. Conseil se tient à votre disposition.

Bien cordialement,


Régis de la CROIX-VAUBOIS
Président
144 Bureaux de la Colline - 92213 Saint-Cloud cedex
Tel : 01.55.38.75.00 - Fax : 01.55.38.75.09
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R.C.V. Conseil, l'ensemble de nos prestations :

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N'hésitez pas à nous consulter.


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