DOSSIER



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Didier Deschamps, Chargé de recrutement brillant !

Même avec un dernier verre de porto coincé dans la gorge, la dernière compétition de football restera un souvenir savoureux pour beaucoup de Français, recherchant au minimum la détente, au maximum un des derniers lieux de satisfaction et d’unité nationale.

Principal responsable de du brillant parcours de l’équipe de France de football au cours de l’Euro : Didier Deschamps. Certainement un bon sélectionneur, dont les principes de management méritent d'être décortiqués. Il est possible de dégager cinq enseignements de la méthode Deschamps :

1. Soigner le recrutement. Ce n'est pas par hasard que la Fédération française de football a intitulé ce poste « sélectionneur ». Il n'y a rien de plus difficile que de choisir les joueurs, tâche qui expose à de gros risques. Dans l'entreprise aussi, le recrutement est stratégique.

2. Construire la cohésion. Ce n'est pas une tautologie : de nombreux dirigeants se croient encore stratèges en « divisant pour mieux régner ». Aux succès communs, ils préfèrent la consolidation de leur pouvoir, principe dont on peut espérer qu'il se démode. « Le vrai talent, c'est d'en donner aux autres », a dit un jour Didier Deschamps. Notons que le point 1 (le recrutement) a un impact majeur sur ce point 2.

3. Instiller une culture de la gagne. Autrement dit, fixer des objectifs très ambitieux mais possibles à atteindre, puis s'y référer sans cesse. Pour cela, les triomphes passés du manager, comme élément de crédibilité, sont bien utiles. Dans sa carrière, Deschamps a tout gagné ou presque.

4. Réfléchir, agir, ajuster. La capacité d'analyse du sélectionneur et sa propension à s'adapter se sont révélées impressionnantes durant la compétition. Dans les grandes entreprises, dirigées par des esprits brillants, le temps de la réflexion manque parfois, de même que l'humilité nécessaire pour corriger ses erreurs.

5. Communiquer sobrement. Il ne s'agit pas d'ériger en modèle le verbe de Didier Deschamps (très formaté et, disons-le, très pauvre) ni son aisance devant la caméra (il regarde le ciel), mais plutôt sa stratégie de com. Alors qu'on imagine son bouillonnement intérieur, et son autorité sonore dans les vestiaires, il n'affiche que modestie, sérénité et contrôle.

Peut-être allons-nous approcher Didier Deschamps pour qu’il rejoigne R.C.V. Conseil comme Chargé de recrutement ; il en aurait sans doute les qualités !... 

 

Régis de la CROIX-VAUBOIS
Président


 

La Chargée de Recrutement de la quinzaine

Sophie ZIEGLER : Titulaire d'une Maitrise de Science Politique en 1999 et d'un DEA Communication, Technologies et Pouvoirs à La Sorbonne en 2000, elle d'abord intervenue en marketing et communication chez différentes entreprises et organismes. Elle rejoint l'activité de recrutement en Cabinet à partir de 2011. Elle vient d'intégrer R.C.V. Conseil comme Responsable Recrutement sur le Pôle Bâtiment, Ingénierie, Immobilier au sein du Cabinet.


3 questions à Sophie ZIEGLER :

Titulaire d’une Maitrise de Science Politique et d’un DEA Communication, Technologies et Pouvoirs, vous avez exercé pendant 10 ans dans les métiers de la communication. Vous avez ensuite rejoint les métiers du recrutement en 2011, pourquoi cette orientation ?
Après 10 ans dans les métiers de la communication, j'avais le sentiment d'avoir fait le tour de mon métier et surtout j'avais foncièrement envie de me tourner vers une fonction plus axée résultats et relations clients. En effet, je souhaitais évoluer vers un métier à dimension humaine, concret et stratégique pour l’entreprise. En cela, le métier de Chargée de recrutement correspond tout à fait à ces objectifs car il permet d'allier ses deux facettes : l'humain et la satisfaction clients.

Pour vous, qu’est-ce qu’un bon recruteur en Cabinet ?
Un bon recruteur, outre le fait de bien connaitre son secteur d'intervention, doit d’abord savoir écouter ses clients et ses candidats. Il doit savoir prendre le temps de comprendre les problématiques des entreprises (nouvelle organisation, évolution de la stratégie,…) et celles des candidats approchés. Facilitateur et pragmatique, le recruteur rendra réalisable ce qui est possible.

Qu’est-ce qui a motivé votre choix de rejoindre le Cabinet R.C.V. Conseil ?
Ce qui m'a séduit c'est le grand professionnalisme et la parfaite connaissance des secteurs du BTP et de l'Industrie de R.C.V. Conseil qui intervient dans ces secteurs depuis 18 ans. C'est aussi son équipe, investie et dynamique, toujours à l'écoute des nouveaux besoins de ses clients et des souhaits d’évolution des candidats. Enfin, la bonne ambiance de travail qui y règne m'a réellement confortée dans mon choix. Elle permet la qualité des résultats, le travail d'équipe et l'échange de bonnes pratiques, le tout dans une atmosphère entrainante et positive. 


 
 

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R.C.V. Conseil, l'ensemble de nos prestations :

- Recrutement,
- Prestation de Chasse (contrat de mission), 
- Dossier d’Evaluation (approche directe),
- Prise (contrôle) de références,
- Bilan de compétences (formation), 
- RPO (externalisation du recrutement),
- Outplacement (reclassement), 
- Conseil en orientation et recherche d’emploi (formation), 
- Portage salarial, 
- Test de personnalité ou d’aptitude.

N'hésitez pas à nous consulter.


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Les chefs d'entreprise gardent le moral

Le climat des affaires s'est nettement redressé en juillet, après un creux en juin… (avec Les Echos)

Le Brexit ne semble pas trop inquiéter les patrons français. Après une baisse en juin due notamment aux mobilisations sociales, l'indicateur du climat des affaires calculé par l'Insee a gagné deux points en juillet à 102 points. « C'est plutôt une bonne nouvelle vu le contexte de ces dernières semaines », note Catherine Renne, chef de division des enquêtes de conjoncture de l'Insee. Tous les secteurs ont repris confiance. Ces résultats n'intègrent pas toutefois les répercussions éventuelles de l'attaque meurtrière de Nice sur le moral des chefs d'entreprise. Plus de 90 % des 20.000 entreprises sondées par l'Insee ont répondu avant l'attentat du 14 juillet. « Il y aura forcément un impact sur certains secteurs, tels que la restauration ou les transports, comme ça s'était vu après les attentats du 13 novembre », prévient l'économiste Denis Ferrand directeur général de COE-Rexecode.

L'indicateur du climat des affaires est repassé au-dessus de son niveau moyen de long terme représenté par le chiffre 100. Il a retrouvé son niveau de mai 2016 après une baisse de deux points en juin. Tous les secteurs (industrie, commerce de gros, bâtiment, commerce de détail et services) ont vu leur confiance croître, ce qui marque, selon l'Insee, une « conjoncture favorable ». L'impact du Brexit semble pour le moment minime. « On remarque que les commandes globales ont augmenté mais que celles venant de l'étranger baissent. Il y a donc une crainte vis-à-vis de l'extérieur qui pourrait être liée au Brexit », tempère Philippe Waechter, directeur de recherche chez Natixis.

Seul le bâtiment reste sous l'indice moyen de confiance mais en nette hausse

Le commerce de détail et les services sont les deux secteurs enregistrant la plus forte remontée, gagnant 3 points chacun. C'était d'ailleurs les secteurs qui avaient subi la plus forte baisse le mois d’avant, preuve d'un retour à la normale après un mois de juin où les mobilisations contre la loi travail notamment les avaient affectés.

Le seul secteur à rester sous l'indice moyen de confiance est le bâtiment, à 96 points. Il atteint toutefois un niveau inédit depuis août 2012. Un regain d'optimisme confirmé par une enquête de la Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb) publiée récemment. Celle-ci indique que l'activité globale du secteur a gagné 1 % entre avril et juin. La confédération planche d'ailleurs sur une croissance de l'activité comprise entre 0,5 % et 1 % cette année dans le secteur.

Ces bons chiffres sont très encourageants pour l'activité économique au second semestre et pour la croissance sur l'ensemble de l'année…

Cela va mieux, mais ce n’est pas forcément celui qui dit qui est…


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Moins d’un emploi sur six pourrait être occupé par un robot

Selon une récente étude, 15 % des emplois en France sont automatisables. Mais leur nombre recule, et ils semblent moins appelés à disparaître qu’à se transformer (avec Les Echos).

C'est la « robolution ». L'automatisation de l'emploi s'impose au coeur des réflexions des entreprises et des économistes tant, à en croire le thème du dernier forum de Davos, elle ouvrirait la voie à une « quatrième révolution industrielle ». Certes, quarante ans après les premiers automates industriels, la peur du remplacement par une machine n'est pas nouvelle. Mais les progrès du numérique, de la robotique et de l'intelligence artificielle rendent la question de leur impact sur l'emploi plus forte que jamais. En 2013, une étude de deux chercheurs américains, Carl Benedikt Frey et Michael Osborne, a fait sensation en ¬concluant que 47 % des emplois aux Etats-Unis étaient automatisables ou le seraient d'ici à dix ou vingt ans. En 2014, le cabinet Roland Berger évoquait 42 % d'emplois menacés en France.

Une note d'analyse publiée mi-juillet par France Stratégie vient ¬fortement relativiser la menace. Selon cet organisme de réflexion prospective rattaché à Matignon, seuls 15 % des emplois hexagonaux (3,4 millions de postes) seraient « automatisables », c'est-à-dire soumis à un « rythme de travail qui n'est pas imposé par la satisfaction immédiate de la demande des clients » et basé sur « la stricte application de consignes ». Ils sont deux fois plus fréquents dans l'industrie (25 %) que dans les services (13 %), où les interactions directes avec le public sont plus fréquentes. La différence de résultats tient à la méthode employée. L'étude américaine et celle de Roland Berger ¬raisonnaient par profession automatisable, chacune vue comme un tout uniforme. France Stratégie s'appuie sur une analyse non par métier, mais par tâches les composant, dont il ressort que nombre de postes ne sont pas aussi automatisables qu'ils pourraient en avoir l'air. L'analyse de France Stratégie vient ainsi ¬conforter les résultats d'une étude publiée mi-mai par l'OCDE qui ¬concluait, avec une méthodologie plus affinée, que seuls 9 % des emplois français ont un risque élevé d'automatisation (9 % aux Etats-Unis, 10 % au Royaume-Uni, 7 % au Japon).

France Stratégie souligne aussi que « de plus en plus d'emplois apparaissent peu automatisables en France en raison des interactions sociales et de l'adaptabilité qu'ils requièrent ». Leur nombre a bondi de 33 % de 1998 à 2013, pour atteindre 9,1 millions. A l'opposé, les emplois automatisables se sont érodés : ils ont reculé de 200.000 en quinze ans. C'est le fruit de la désindustrialisation et d'un « phénomène d'adaptation continuelle du contenu des emplois [...] en même temps que les évolutions technologiques » : ils se recentrent sur des tâches non automatisables, parfois à plus forte valeur ajoutée et surtout nécessitant des « compétences sociales », comme on le voit dans la banque, érigée en « cas d'école » par l'étude.

Un impact incertain

« La révolution numérique détruit des emplois, mais surtout elle transforme les métiers », pointe l'étude, qui évoque, plus qu'une opposition, une « complémentarité entre l'homme et la machine ». D'autant que l'automatisation, quand elle est possible, n'est pas systématique : « D'autres facteurs influencent le déploiement des robots et automates, comme le mode d'organisation du travail, l'acceptabilité sociale et la rentabilité économique ».

L'impact à terme du progrès technologique sur l'emploi est d'autant plus incertain, analyse la note, qu'il contribue aussi à en créer. Directement d'abord, dans la R&D, la conception, la production, la maintenance. En France, le nombre de secrétaires, « remplacées » par les outils bureautiques, a reculé de 200.000 en trente ans... mais celui des informaticiens et ingénieurs, notamment pour bâtir ces outils bureautiques, a bondi de 300.000. Les effets macroéconomiques sont aussi primordiaux, les gains de productivité liés à l'automatisation pouvant générer un cercle vertueux de croissance. Les économistes, rappelle France Stratégie, sont toutefois divisés sur l'ampleur des gains de productivité à attendre. 
 



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Deux nouvelles Chargées de recrutement chez R.C.V. Conseil !

Dans le cadre de son développement, R.C.V. Conseil vient d'intégrer deux nouvelles Chargées de recrutement :

- Sophie ZIEGLER (voir ci-contre) : Titulaire d'une Maitrise de Science Politique en 1999 et d'un DEA Communication, Technologies et Pouvoirs à La Sorbonne en 2000, elle d'abord intervenue en marketing et communication chez différentes entreprises et organismes. Elle rejoint l'activité de recrutement en Cabinet à partir de 2011. Chargée de recrutement chez R.C.V. Conseil, elle est Responsable du Pôle Bâtiment, Ingénierie, Immobilier au sein du Cabinet,

- Jeanne MEILLON : Après un BTS en Economie sociale et familiale en 2011, elle a obtenu un Master professionnel en Politique et Stratégie des Ressources Humaines en 2014 à l'Institut Catholique de Paris. Elle intervient comme Chargée de recrutement chez R.C.V. Conseil sur les secteurs énergies notamment dans les installations en génie électrique et en génie climatique.

Nous souhaitons la bienvenue à nos deux nouvelles collaboratrices et plein succès dans leurs nouvelles fonctions. Elles sont, dès à présent, à votre disposition pour vous apporter nos solutions pour vos recrutements.

Ces arrivées portent maintenant à 9 collaborateurs l'équipe du Cabinet pour toujours mieux répondre à vos besoins.

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Régis, Stéphen, Virginie, Sophie, Amélie, Nathalie, Jeanne, Louis-Marie et Catherine.
Et Xavier PIETTRE.

Toute l’équipe du Cabinet R.C.V. Conseil se tient à votre disposition.

Bien cordialement,


Régis de la CROIX-VAUBOIS
Président
144 Bureaux de la Colline - 92213 Saint-Cloud cedex
Tel : 01.55.38.75.00 - Fax : 01.55.38.75.09
contact@rcv-conseil.com

www.rcv-conseil.com

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