Retrouvez les dossiers d'actualité du mois par le Cabinet de recrutement R.C.V. Conseil :
- R.C.V. Conseil intègre un nouvel Associé !,
- Les cadres de plus en plus prêts à bouger pour profiter de l'embellie de l'emploi,
- Relance : les chefs d'entreprise, plus combatifs que jamais !,
- La parole des dirigeants influe sur le bien-être des salariés,
- Le Chargé de recrutement du mois.

Spécialisé depuis plus de 22 ans dans les métiers du BTP, de l'Industrie, des Energies, des Services aux entreprises, de la Santé et de l'Immobilier, nous répondons à vos besoins sur les profils production, exploitation, études, commerciaux, techniciens, managers,… (www.rcv-conseil.com).



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R.C.V. Conseil intègre un nouvel Associé !

Notre collaborateur Louis-Marie MOINIER, intervenant chez R.C.V. Conseil depuis juin 2014 et actuellement Responsable d’un des quatre pôles de spécialité du Cabinet, entre dans le capital de celui-ci et en devient Associé.

C’est une grande joie pour le Cabinet et toute notre équipe. Ce nouveau statut d’Associé de notre collaborateur, au-delà de la reconnaissance des brillants résultats obtenus ces dernières années, illustre la cohésion d’une équipe et son implication pour nos clients et nos candidats. Il démontre aussi une vision stratégique et des valeurs communes qui s’inscrivent dans une perspective durable.

Alors que l’environnement dans lequel nous évoluons tous depuis ces dernières années ne cesse de connaitre des aléas forts qu’ils soient économiques, sociétaux, politiques ou sanitaires, notre Cabinet maintient son cap basé sur une équipe cohérente et solidaire, sur une valeur ajoutée avérée sans laquelle aucun des recrutements réalisés n’auraient aboutis.

Alors que pénurie et incertitudes s’aggravent, que les difficultés de recrutement constituent un des freins sinon le frein premier au redéveloppement de notre économie, nous continuons de développer nos méthodes et notre approche traditionnelles qui, depuis 23 ans, ont permis d’apporter tant de solutions.

Ainsi, nous faisons nôtre la devise de Guillaume 1er d’Orange Nassau devenue celle des Pays-Bas : « Je maintiendrai » !  

 

Régis de la CROIX-VAUBOIS
Président


 

 

 


 

 

 

Le Chargé de Recrutement du mois

Louis-Marie MOINIER : Titulaire d'une Maitrise d'Economie Appliquée et Sciences Politiques (2009) et d'un Master en Management des Ressources Humaines (2010), après une première expérience comme Chargé de recrutement, il est intervenu en gestion des ressources humaines sur un site d'ALSTOM en Inde et comme Consultant SIRH au sein d'une SSII, conseil en organisation et management des ressources humaines ; il intervient chez R.C.V. Conseil depuis 2014 comme Chargé de recrutement, responsable des secteurs Industrie, Génie Civil, Sols, VRD, Travaux Publics, Environnement, Travaux Spéciaux, Rail, Contrôle Technique, Expertise, Structures. Il est Associé du Cabinet depuis 2021.


4 questions à Louis-Marie MOINIER :

Chargé de recrutement et responsable du principal pôle de spécialité du Cabinet, comment résumer ces plus de 7 ans passés chez R.C.V. Conseil ?
Au risque de tomber dans la banalité, je dois avouer que je n’ai pas vu le temps passer ! En tant que Chasseurs, nous avons la chance d’effectuer un métier riche et complet, chaque jour apportant son lot d’imprévus. A titre personnel, j’ai eu l’opportunité de voir le périmètre de mon poste en constante évolution depuis mon arrivée en juin 2014, avec la gestion d’un pôle 18 mois plus tard et l’encadrement d’un collaborateur pour atteindre aujourd’hui 3 collaboratrices. En parallèle de cela, le marché s’est également modifié, et nous avons constamment cherché à nous adapter, en investissant le cas échéant dans de nouveaux outils afin de continuer à proposer des solutions sur mesure à nos clients. Nous avons ainsi eu le plaisir de nous voir récompensés plusieurs années de suite parmi les 250 meilleurs cabinets de recrutements de France selon l’étude annuelle réalisée par Les Échos.

Vous devenez maintenant Associé du Cabinet, qu’est-ce qui a motivé ce choix ?
Nous avons eu avec mon Dirigeant la même démarche qu’avec nos candidats : quel poste peut correspondre à une évolution logique à leur parcours ? Comme j’ai eu l’opportunité de voir mon poste constamment s’élargir depuis maintenant 7 ans, l’ouverture au capital nous semblait être la suite logique de cette évolution. D’un point de vue plus personnel, cela correspond également à une volonté de ma part de m’inscrire dans la durée. J’ai la chance d’avoir trouvé chez R.C.V. Conseil un environnement de travail et une équipe à laquelle je suis très attaché, et je ne compte pas m’arrêter en si bon chemin ! Les perspectives d’évolution ne sont pas uniquement l’apanage des ETI et des groupes. On peut travailler dans une TPE et bénéficier d’opportunités intéressantes !

Quelles sont les perspectives et évolutions à prévoir à court et moyen termes en matière de recrutement ?
Après une année 2020 atone en matière de recrutement, 2021 s’annonce clairement comme étant une bonne année. D’après l’APEC, les offres d’emplois des cadres ont retrouvé leur niveau de 2019, qui était déjà élevé. Nous connaissons donc une tension conjoncturelle couplée à une tension structurelle, le secteur du BTP, et dans une moindre mesure celui de l’industrie, souffrant d’un manque chronique de main d’œuvre qualifiée à tous niveaux. Il en résulte une tension extrêmement forte sur le marché des candidats, les entreprises ne souhaitant pas voir partir leurs talents à la concurrence sans coup férir. Nous avons également un souhait de mobilité en province principalement pour les profils les plus jeunes ou les plus expérimentés.

Comment R.C.V. Conseil se prépare à y répondre ?
Dans des marchés haussiers, la chasse est le meilleur moyen de répondre à cette tension conjoncturelle et structurelle. Elle permet de tisser des liens privilégiés et durables avec les candidats, et de se prémunir autant que possible des tentatives de rattrapage en interne. Nous conseillons par ailleurs aux entreprises de ne pas couper le lien avec les candidats une fois le contrat de travail signé. Nous investissons également en matière de personnel, avec l’arrivée prochaine d’une nouvelle collaboratrice, et d’outils afin de rester attentifs et réactifs à tout signal (fut-il faible) renvoyé par les candidats. Enfin notre organisation interne nous permet de répondre aux problématiques géographiques spécifiques de nos clients (province, mais également international). 
 



 

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R.C.V. Conseil, l'ensemble de nos prestations :

- Recrutement,
- Prestation de Chasse (contrat de mission), 
- Dossier d’Evaluation (approche directe),
- Prise (contrôle) de références,
- Bilan de compétences (formation), 
- RPO (externalisation du recrutement),
- Outplacement (reclassement), 
- Conseil en orientation et recherche d’emploi (formation), 
- Portage salarial, 
- Test de personnalité ou d’aptitude.

N'hésitez pas à nous consulter.



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Les cadres de plus en plus prêts à bouger pour profiter de l'embellie de l'emploi

Le dynamisme des offres d'emploi pour les cadres ne s'est pas démenti pendant l'été, selon les dernières données publiées par l’APEC. De quoi donner à beaucoup de fortes envies de mobilité (avec Les Echos).

Le deuxième trimestre avait déjà été une bonne surprise, le troisième l'est encore plus. Selon les dernières données publiées ce mercredi par l'Association pour l'emploi des cadres (Apec), les offres d'embauche pour les cadres ont en effet retrouvé au troisième trimestre leur niveau d'avant la crise.

Traditionnellement, pendant l'été, les annonces piquent un peu du nez. Cette année n'y a pas dérogé, mais moins que d'ordinaire. Le nombre d'annonces n'a baissé que de 2 % au troisième trimestre par rapport au deuxième, là où, en 2019, dernière année avant l'épidémie, elles avaient chuté de 15 %.

Les TPE plus prudentes

A noter cependant des différences marquées entre secteurs. La palme du pic revient au secteur santé-action sociale (+ 45 % !), suivi de l'industrie pharmaceutique (+ 39 %), la distribution (+ 30 %) ainsi que l'immobilier (+ 30 %). La communication et les médias sont le secteur qui baisse le plus (-14 %), suivis par les télécoms, l'automobile et l'aéronautique (- 10 %).

Il faut dire que la confiance dans les perspectives d'activité a été confortée, selon le baromètre Apec du quatrième trimestre. Les très petites entreprises n'en restent pas moins prudentes dans leurs intentions de recrutement dans les trois prochains mois, évoquées par 5 % des moins de 10 salariés contre 7 % en juin. Les PME sont, elles, à peine plus optimistes qu'avant l'été, avec 18 % d'entre elles qui projettent de recruter, contre 17 % en juin.

Des difficultés de recrutement

La reprise de l'emploi des cadres au troisième trimestre s'annonce comme surtout le fait des grandes entreprises. Les intentions de recrutement des employeurs de 250 salariés et plus ont pris 6 points en septembre. Après s'être maintenue pendant un an autour de 50 % (49 % en juin), la proportion de celles qui envisagent de recruter dans le trimestre est passée à 55 %.

Tout cela augure d'un renforcement des difficultés de recrutement qui se font déjà sentir sur le marché de l'emploi des cadres. 78 % des entreprises en anticipent parmi celles qui ont le projet de recruter, soit quelque 20 points de plus qu'en septembre 2020 ou même mars 2021.

De quoi doper la confiance de cadres dans leur entreprise, pour tous ceux qui sont en emploi (82 % l'affirment contre 78 % en juin). Mais aussi dans leurs perspectives propres d'évolution professionnelle (69 % l'expriment, 7 points de plus qu'au début de l'été). Ce regain de confiance s'accompagne d'un désir de mobilité.

Une forte envie de mobilité

L'envie de bouger est particulièrement forte chez les moins de 35 ans. En septembre 2020, ils n'étaient que 43 % à l'exprimer. Puis cette proportion a dépassé les 50 % au printemps pour naviguer ensuite autour de 55 % avant, en octobre, d'atteindre 62 % des jeunes cadres, selon l'Apec. Ce souhait de mobilité progresse aussi chez les seniors : 22 % des 55 ans et plus affirment envisager de changer d'entreprise dans les 12 mois, contre 14 % en juillet dernier. Mais pas chez les 35-54 ans où il est stable à 36 %.

L'idée de changer de région est par ailleurs en hausse. Plus de la moitié des cadres l'envisagent en octobre, contre 44 % en septembre 2020. La proportion est même des deux tiers chez les plus jeunes. Avec pour les Franciliens un objectif qui dépasse tous les autres: celui de «bénéficier d'un meilleur cadre de vie», invoqué par 70% d'entre eux, quand un tiers invoque la perspective de bénéficier de meilleures opportunités. Sachant que dans les autres régions, ces deux motifs tiennent la corde à égalité (39% et 38%).

Les enjeux d'attractivité du territoire s'amplifient donc pour les entreprises, note l'APEC qui s'appuie sur une enquête qualitative réalisée auprès de 160 personnes de toutes régions qui montre que les deux tiers des entreprises qui ont eu du mal à recruter au deuxième trimestre invoquent le trop faible nombre de candidatures, en hausse de 12 points par rapport au premier. 
 
 


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Relance : les chefs d'entreprise, plus combatifs que jamais !

Après la sidération, place à l'action. Les chefs d'entreprise reprennent du poil de la bête et donnent désormais la priorité à la reprise de l'activité, Selon le baromètre annuel de la Fondation MMA Entrepreneurs du futur. Ils gardent tout de même des séquelles de la crise sanitaire (avec Les Echos).

Fatigués, mais debout, les patrons de TPE, PME et ETI affichent un moral plutôt positif en cette rentrée 2021, portés par les perspectives de la forte relance économique. D'après le nouveau baromètre de la Fondation MMA Entrepreneurs du futur*, 80 % se déclarent en forme psychologiquement sur le plan personnel (+9 points par rapport à 2020) et 75 % au niveau professionnel (+10 points par rapport à 2020). Par ailleurs, ils sont 4 sur 10 à ne pas avoir de souci de santé, hormis un mal de dos pour 44 % d'entre eux.

Prêts pour la relance

« Au global, c'est plutôt positif, affirme Patrick Miliotis, délégué général de la Fondation MMA Entrepreneurs du futur. Leur moral semble au beau fixe, et la plupart des dirigeants sont animés d'un fort sentiment de combativité (89 %) et d'investissement (88 %). » Bien sûr, le spectre de la crise sanitaire est toujours là. D'ailleurs 68 % des chefs d'entreprise déclarent que la crise les a déstabilisés et 56 % en sont sortis fragilisés. En particulier dans les régions où la pandémie a fait le plus de ravages, comme dans le Grand Est.

Mais la situation s'améliore par rapport à la précédente enquête, réalisée en juin 2020 : alors qu'ils étaient 44 % à se dire inquiets, ils sont 39 % aujourd'hui. « La relance joue positivement, après des mois d'incertitudes », analyse Patrick Miliotis. Et les dirigeants sont prêts à saisir ces nouvelles opportunités. 55 % avouent être prêts à faire de la reprise de l'activité leur priorité. Quitte à devoir composer avec plus de stress et de charge de travail. L'enquête révèle à ce propos qu'ils sont plus stressés (50 % vs 44 %) et débordés (56 % vs 54 %) qu'en juin de l'année dernière. Ils sont particulièrement inquiets sur les problématiques de recrutements de talents (42 %) et d'approvisionnement en matières premières en période de pénurie (41 %), afin d'assurer la continuité de leur activité.

Durablement changés

S'ils s'engagent dans la relance, les chefs d'entreprise n'en oublient pas les mois difficiles qu'ils viennent de traverser. La grande majorité a tiré des leçons et entend bien s'en servir à l'avenir. « La crise a poussé de nombreux dirigeants à trouver de nouveaux relais de croissance et à repenser leur activité : 7 sur 10 ont mis en place de nouvelles actions pour maintenir leur activité, principalement en rationalisant leurs coûts (38 %), en se transformant digitalement (30 %) et en diversifiant leurs services (29 %) », reprend le délégué général.

Des changements perçus positivement puisque 87 % des dirigeants ont l'intention de les pérenniser. « Elle a aussi renforcé l'empathie et l'intelligence émotionnelle , avec 88 % des dirigeants qui se disent attentifs au vécu de leurs collaborateurs et 69 % qui reconnaissent le rôle bénéfique sur leur moral de l'engagement des collaborateurs et du soutien des clients. »

Plus tournés vers la famille

Côté vie personnelle, aussi, les habitudes prises pendant la crise sont amenées à durer. Par exemple, 96 % des dirigeants qui ont démarré une activité sportive pendant la crise ont l'intention de continuer. Et puis, « les confinements ont replacé l'équilibre vie professionnelle et vie personnelle au centre. C'est devenu un véritable pilier pour les chefs d'entreprise, qui sont 75 % à vouloir profiter de leur famille et de leurs proches. Soit 13 points de plus qu'en 2020. Et 98 % veulent que cette habitude continue », rappelle Patrick Miliotis. La relance de l'activité, oui, mais sans s'oublier.

 

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La parole des dirigeants influe sur le bien-être des salariés

Trois quarts des salariés déclarent qu'un message oral de leur dirigeant a plus de poids qu'un message écrit (avec Les Echos).

Plus de deux salariés sur trois déclarent que la parole de leur dirigeant impacte leur bien-être. C'est ce que dévoile l'étude d'OpinionWay réalisée récemment pour le cabinet Whistcom auprès de 1.001 salariés d'entreprises de 50 salariés et plus.

Cette étude révèle que si la parole des dirigeants est centrale pour l'image externe de l'entreprise, elle influence aussi le travail du salarié. Le dirigeant doit maîtriser sa prise de parole, car s'il ne maîtrise pas cet exercice, l'entreprise est exposée non seulement à des risques d'image mais également à des risques stratégiques : c'est la fidélité, l'engagement, la motivation des salariés, et donc la compétitivité de l'entreprise qui sont en jeu.

Poids du message oral

La parole est inhérente à la fonction de dirigeant : 93 % s'expriment régulièrement face à leurs équipes. Cette parole est très attendue et valorisée par les salariés : trois quarts d'entre eux déclarent qu'un message oral de leur dirigeant a plus de poids qu'un message écrit.

La généralisation récente du télétravail n'a fait qu'amplifier cet effet. 82 % des salariés considèrent que les compétences orales de leurs dirigeants sont aussi importantes que ses compétences techniques. Elles influencent leur implication (74 %), leur fidélité (72 %), leur fierté d'appartenir à l'entreprise (74 %), leur envie d'évoluer en interne ainsi que leur bien-être (69 %).

Outils digitaux versus dialogue et échange direct

Toutefois, les salariés sont 19 % à trouver que leurs dirigeants expriment des signes de stress et que leurs prises de parole, descendantes, ne permettent pas d'établir un dialogue. Du reste, 46 % considèrent que la parole de leur patronne ou patron ne leur apprend rien. Résultat : seuls 50 % trouvent que leur dirigeant est inspirant et moins de la moitié (49 %) que son discours correspond à la réalité de terrain.

Pour communiquer avec leurs équipes, les dirigeants utilisent majoritairement des outils digitaux alors que les équipes souhaitent plutôt un retour à l'échange direct et au dialogue. Trois quarts des salariés estiment qu'un dirigeant qui s'exprime mal donne une mauvaise image de l'entreprise.

A l'heure des réseaux sociaux numériques, et d'Internet en général, les échanges des dirigeants évoluent vers plus d'interactivité. Mais, au temps de la conversation permanente, les chefs d'entreprise ont aussi parfois intérêt à préserver leur parole. Se former pour intervenir à bon escient et au moment opportun peut alors être une solution, si on considère que 58 % des collaborateurs appréhendent d'occuper des postes de direction par peur de prendre la parole. 


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Toute l’équipe du Cabinet R.C.V. Conseil :
Flavie, Louis-Marie, Marie, Marie, Gwénaëlle, Amélie, Nathalie, Marc-Henri, Coline et Régis,
se tient à votre disposition.

Bien cordialement,


Régis de la CROIX-VAUBOIS
Président
144 Bureaux de la Colline - 92213 Saint-Cloud cedex
Tel : 01.55.38.75.00
Le Forum - 27 rue Maurice Flandin - 69444 Lyon cedex 03
Tel : 06.46.36.11.66
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