DOSSIER



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Le travail, c'est la santé !

Le travail reste encore souvent caricaturé surtout par les politiques qui s’en sont peut-être trop éloignés ! D'un côté, il y a ceux qui insistent sur la dimension victimaire, de l’autre ceux qui la réduisent sur une notion seulement à réglementer. Au-delà des discours caricaturaux, les différentes études montrent la place essentielle qu'il occupe dans la vie des gens avec une immense majorité (généralement autour de 80 %) qui l’apprécie.

Pour autant tout n'est pas rose, loin de là. Les salariés incriminent volontiers le travail sur leur santé et, notamment, sur leurs problèmes de sommeil et sur différentes douleurs. Ce qui est évident. Parce que le travail a de l'importance et qu'il est un espace de remise en cause, de défis et d'efforts, il arrive qu'il nous mette en déséquilibre émotionnel et physiologique ; il a donc des effets sur la santé. En prendre acte suppose de prévoir un cadre qui permette aux acteurs de prévenir ce risque autant que possible et de le réguler. Ne perdons toutefois pas de vue que l'absence de travail est beaucoup plus pathogène que le travail lui-même.

Ainsi, les salariés qui ont le sentiment d'avoir de l'autonomie, de pouvoir mettre en œuvre leurs idées, d'être fiers de ce qu'ils réalisent et de pouvoir compter sur les autres se portent mieux.

La situation des acteurs au travail est souvent contrastée et une disparité de la maturité et de la qualité managériale. Cela peut paraître un mystère. L'intérêt des dirigeants et des managers est évidemment d'avoir des collaborateurs en bonne santé, et qui prennent du plaisir à ce qu'ils font. Alors pourquoi certains ne font-ils pas en sorte que cela se produise ?

Faisons deux hypothèses. D'un côté, il y a ceux qui ne savent pas faire, de l'autre ceux que cela indiffère. Ceux-là ne cherchent que des profits rapides et ne se sentent aucune responsabilité vis-à-vis de ceux sur lesquels ils ont autorité.

L'incompétence et l'égoïsme, voilà les plaies du management. A moyen terme, ils produisent toujours de l'inefficacité et induisent une relation au travail conflictuelle. Les dirigeants devraient toujours garder en tête que la majorité des salariés qui disent ne pas travailler seulement pour l'argent sont aussi ceux qui trouvent satisfaction et fierté dans ce qu'ils font. 

 
 

Régis de la CROIX-VAUBOIS
Président

 


 

Le Chargé de Recrutement de la quinzaine

Bruno de KERIZOUET : Diplômé de Sciences Po Paris (filière Affaires Internationales) en 2010 après une préparation littéraire en lycée militaire, il a poursuivi par des études de philosophie au Chili et de théologie en Espagne et en Italie. Il vient d'intégrer le Cabinet R.C.V. Conseil comme Chargé de recrutement au sein du pôle Génie Civil, Industrie, Travaux Publics, VRD, Sols, Environnement, Travaux Spéciaux, Rail, Contrôle Technique, Expertise, Structures.


3 questions à Bruno de KERIZOUET :

Diplômé de Sciences Po Paris en 2010, vous avez poursuivi votre cursus par des études de philosophie et de théologie. Qu’est-ce qui vous amène aujourd’hui à choisir le recrutement ?
Après plusieurs années passées dans une association qui place au centre de son activité les relations humaines, j’ai pris la décision d’opérer un virage en terme de projet de vie tout en ayant à cœur de trouver un emploi porteur de sens et dans lequel je puisse vivre une certaine continuité avec mes expériences précédentes. Après un stage dans un Cabinet de Conseil, le recrutement m’a semblé un secteur d’activité approprié à mon profil par le dynamisme, la réactivité et la rigueur que cette profession exige. Par ailleurs, tout en se plaçant dans une logique commerciale, le recrutement est porteur de sens pour moi car les personnes constituent le cœur de son activité. La clef d’un recrutement réussi, c’est la rencontre de personnes aux intérêts convergents. Il constitue en ce sens un authentique service permettant à chacun de trouver le poste ou le profil qui lui correspond… et ceci dans l’intérêt de nos candidats et de nos clients.

Pourquoi avoir choisi de faire du recrutement en Cabinet plutôt qu’en entreprise ?
Dans un cabinet, les missions confiées au Chargé de recrutement sont extrêmement variées du fait du niveau des profils et des compétences recherchées, du fait également de l’éventail très large des secteurs d’activité pour lesquels nous menons des missions de recrutement. Cette diversité constitue une vraie stimulation intellectuelle pour le recruteur qui doit sans cesse s’informer et approfondir ses connaissances pour répondre parfaitement aux sollicitations des clients. Aimant le challenge, intégrer un cabinet de recrutement correspondait ainsi à mon tempérament curieux et passionné, toujours en quête de nouveaux domaines à explorer et de nouvelles personnes à rencontrer.

Qu’est-ce qui vous a incité à rejoindre l’équipe du Cabinet R.C.V. Conseil ?
Spécialisé depuis 2001 dans le domaine du BTP, un secteur à nouveau en pleine croissance depuis 2015, le Cabinet R.C.V. Conseil est une entité solide, dotée d’une expérience conséquente et reconnue pour son professionnalisme. A l’inverse d’autres Cabinets mettant l’accent sur la seule logique commerciale, j’ai intégré chez R.C.V Conseil une équipe jeune et dynamique, partageant un même socle de valeurs et ayant à cœur de réaliser leur travail avec responsabilité et dans un authentique souci d’éthique. Jouissant d’un environnement de travail très agréable au 11ème étage des Bureaux de la Colline à Saint-Cloud, le Cabinet R.C.V. Conseil consitue une société à taille humaine où je peux exercer mon activité dans la bonne humeur et de manière très professionnelle. 
 
 


 

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R.C.V. Conseil, l'ensemble de nos prestations :

- Recrutement,
- Prestation de Chasse (contrat de mission), 
- Dossier d’Evaluation (approche directe),
- Prise (contrôle) de références,
- Bilan de compétences (formation), 
- RPO (externalisation du recrutement),
- Outplacement (reclassement), 
- Conseil en orientation et recherche d’emploi (formation), 
- Portage salarial, 
- Test de personnalité ou d’aptitude.

N'hésitez pas à nous consulter.


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Un nombre record de projets d'embauches attendu en 2017 !

Les entreprises prévoient d’embaucher près de 2 millions de personnes cette année, un record depuis 2002, majoritairement en CDI ou CDD durable, selon une enquête de Pôle emploi (avec Les Echos).

Publiée chaque année à pareille époque, le millésime 2017 de l'enquête de Pôle emploi réalisée avec le Credoc sur les besoins de main d'œuvre prend - campagne présidentielle oblige - un relief particulier. Et pour cause puisque elle fait ressortir 1,976 million de projets d'embauche, soit 8,2 % (ou 150.000) de plus qu'en 2016. A ce niveau-là, c'est un record depuis 2002, première année de ce sondage, a relevé Stéphane Ducatez, directeur des statistiques des études et de l'évaluation de Pôle emploi.

Sachant que 8 projets d'embauche sur 10 vont au bout, la projection est plutôt de bonne augure, malgré une croissance atone (le gouvernement sortant attend +1,5 % cette année) et même s'il n'y a pas de corrélation automatique avec le solde net de l'emploi constaté en fin d'année compte tenu principalement de l'évolution de la population active.

Services aux particuliers ou aux entreprises


Les astres sont d'autant bien orientés a priori que les embauches envisagées répondent aux deux tiers à un surcroît ou à une nouvelle activité, contre 61 % un an plus tôt. Mieux, 58 % des entreprises prévoyant d'embaucher envisagent de le faire via un emploi durable, CDI ou CDD de plus de six mois. Soit 2 points de plus en un an (et une proportion plus importante pour les premiers).

Dans le détail, ce sont les TPE ou les PME qui se montrent les plus désireuses d'augmenter leurs effectifs puisque près d'un projet de recrutement sur deux concerne une entreprise de moins de 10 salariés. Et celles qui en comptent moins de 4 progressent fortement dans le panel (+14 %). Tous les secteurs d'activité sont à la fête, mais la palme des plus gros recruteurs va, logiquement, aux services aux particuliers ou aux entreprises. La construction et l'industrie pèsent moins en volume, mais affichent toutefois un très net rebond en un an.

Inadéquation des profils des candidats

Cette année, les ingénieurs informaticiens, aides-soignantes ou ouvriers qualifiés de l'agro-alimentaire devraient donc trouver facilement du travail. Du côté des employeurs, surtout des petits peu outillés en matière de gestion des ressources humaines, les choses ne seront pas si simples en revanche puisqu'elles anticipent plus de difficultés à recruter. C'est le pendant logique de la forte hausse des anticipations d'embauches, à quoi s'ajoutent des phénomènes de pénurie de main d'œuvre sur certains métiers, de faible attractivité ou de mobilité géographique. Carrossiers automobiles, couvreurs ou mécaniciens et électroniciens de véhicules sont particulièrement en tension.

L'inadéquation des profils des candidats ressort aussi fortement parmi les causes de difficultés anticipées dans les recrutements. C'est pourquoi les employeurs mettent de plus en plus l'accent sur les savoir êtres au-delà des CV, explique Stéphane Ducatez.

Avec un chômage de longue durée à un niveau record, la formation et le retour à l’emploi des personnes qui en sont le plus éloignées demeure un enjeu important. 
 


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Huit diplômés sur dix ont un emploi au bout d'un an

Selon une étude inédite de l’Apec, huit jeunes sur dix sont en emploi après avoir obtenu une licence, master ou titre d’ingénieur, malgré des fortes divergences selon les filières (avec Les Echos).

Le diplôme rempart contre le chômage ? Malgré le coup de frein de la crise de 2008, rentrer sur le marché du travail trois ans ou plus après avoir arpenté les amphithéâtres de la fac ou d'une grande école assure toujours une insertion professionnelle rapide à défaut d'être celle qui est souhaitée. C'est ce que montre le baromètre inédit publié par l'Association pour l'emploi des cadres (Apec), qui s'est attaché à connaître la situation de jeunes 12 mois après avoir obtenu leurs licence, master ou titre d'ingénieur.

« La tendance est bonne même s'il ne faut pas tomber dans l'euphorie. »

De cette situation, mesurée sur la promotion 2015, il ressort - globalement - que neuf jeunes sur dix ont décroché un premier emploi, et que huit sur dix en occupent un au bout d'un an. Les chiffres sont quasiment les mêmes quelques soient le nombre d'années d'études, mais pas en ce qui concerne les conditions d'emploi : rémunération médiane brute annuelle de 21.600 euros pour les bac+3 ou 4 contre 28.000 pour ceux qui ont poursuivi au-delà ; taux de CDI de 45 % pour les premiers contre 55 % pour les seconds ; ou encore accès aux postes de cadres de 9 % contre 53 %. Qui plus est, les taux d'insertion varient assez sensiblement selon les filières. Pour les bac+5 et plus par exemple, il vaut mieux opter pour les sciences technologiques que pour les sciences fondamentales.

Des jeunes... assez négatifs

« La tendance est bonne même s'il ne faut pas tomber dans l'euphorie », résume Jean-Marie Marx, le directeur général de l'Apec. Mieux, les incertitudes liées à la campagne présidentielle ou au Brexit n'ont pas eu d'effet sur les intentions d'embauches, ce que montre également le sondage de Pôle emploi sur les besoins de main d'oeuvres. « Nous sommes en période de reprise », se félicite Pierre Lamblin, directeur du département étude et recherche de l'Apec. Faute de pouvoir trouver le « mouton à cinq pattes » - dix ans d'expérience, salaire modéré - les employeurs vont davantage se tourner vers les débutants .

Et pourtant. Quant on leur demande de manière ouverte leur perception sur la situation du marché du travail, les jeunes diplômés se montrent... assez négatifs ! Les mots qui reviennent le plus sont « difficile », « compliqué » ou « tendu », sans oublier « sous-payé » ou « précaire ». Le fait d'occuper un poste de cadre en CDI n'y change rien. Amélioration de la conjoncture de l'emploi oblige, il est probable que la perception s'améliorera pour la promotion 2016. Il n'en reste pas moins que « l'accès au premier emploi reste difficile », confirme Jean-Marie Marx chiffre à l'appui : douze mois après avoir fini leurs études, quatre bac+5 et plus sur dix occupent un emploi alimentaire ou n'en occupent pas.



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Comment les PME peuvent s'adapter à la révolution digitale ?

Le digital a tout accéléré. Alors que certains grands groupes et start-up ont su prendre le train en marche dès le départ, certaines PME ont encore du mal à vivre cette transformation qui bouleverse complètement leurs habitudes opérationnelles et leurs logiques de production (avec Economie Matin).

Difficile pour ces entreprises de se faire une place dans cette nouvelle économie où le client ne se déplace plus jusqu’au produit, mais où c’est le produit qui va désormais au client. Malgré les efforts que la transformation digitale exige des entreprises, elle s’inscrit dans une dynamique aujourd’hui indispensable en termes de concurrentiels en apportant fidélisation, expérience user unique et différenciation.

Le digital : l’arme pour jouer dans la cour des grands

Façonnées par les nouveaux usages imposés par Google, Uber et les autres géants du digital, les attentes des consommateurs ont aujourd’hui évolué et norment le marché. Le digital est devenu un outil de fracture : il y a ceux qui y sont, et ceux qui n’y sont pas. Ainsi, il touche désormais tous les pans de l’économie et les PME se doivent d’épouser ces nouveaux usages pour rester compétitives. Ce n’est plus seulement un service mais un outil clé pour une entreprise qui souhaite accéder à un marché. Pourtant, en 2015, seules 15 % des PME reconnaissent avoir utilisé le digital pour réaliser un acte de vente en ligne. En utilisant le web, les PME élargissent leur cible : elles s’adressent à la fois à un public français et international et décuplent ainsi leur zone de chalandise.

Le digital est disruptif : il redistribue les cartes. Là où les PME centrées sur le BtoB n’avaient l’occasion que de remporter des marchés à leur échelle, la digitalisation leur offre aujourd’hui la possibilité d’être plus compétitives et de remporter des grands comptes qui leur étaient jusqu’alors impénétrables. Quand on est un acteur historique de la distribution, il est ainsi très complexe de se mettre au niveau des leaders du secteur : toute la chaîne logistique est à revoir. S’inscrire dans l’ère des smartphones et autres appareils mobiles est pourtant devenu primordial en termes d’impact et de compétitivité. Par exemple, si quatre ou cinq jours étaient un délai de livraison acceptable il y a quelques années, aujourd’hui, difficile de ne proposer que cela face à la livraison en une heure d’Amazon qui se positionne exactement là où ses clients l’attendent : sur l’immédiateté. Pour rivaliser avec ces distributeurs tout-puissants, la transformation digitale fait alors office d’arme salutaire pour les PME. Le but ultime de la transformation digitale est alors de démocratiser la livraison du dernier kilomètre, de le rendre accessible sans le détruire et de le mettre au niveau de tout le monde. Cet outil doit permettre d’accroître la rentabilité pour offrir la possibilité à n’importe qui de proposer la livraison en une heure en centre urbain, ressort qui sera demain indispensable à leur compétitivité.

Investir pour gagner en opportunités

Pour un chef d’entreprise à la tête d’une PME avec déjà quelques années d’ancienneté, la transformation digitale fait appel à un domaine de compétences non maîtrisées. Ce qui était associé aux logiciels, à l’IT et à la maintenance doit aujourd’hui être inhérent à la stratégie globale. Le piège est alors que la stratégie digitale dirige la stratégie business : le digital doit être au service du développement de l’entreprise, et non le contraire ! Il ne faut pas faire du digital uniquement pour faire du digital. Désormais, les chefs d’entreprise se doivent d’avoir un regard sur une problématique qu’ils ont longtemps ignorée, en se positionnant face à des générations de jeunes dirigeants qui ont une longueur d’avance sur eux. Avoir un regard critique sur les coûts, la logistique et plus largement sur les problématiques RH ou marketing, que le digital va venir bouleverser, reste un des défis les plus difficiles pour ces entreprises traditionnelles. Pour cela, l’équipe est primordiale : il faut des postes clés pour favoriser l’agilité au sein de l’entreprise. Une équipe qualifiée est une garantie de maîtrise des coûts et d’une plus grande efficacité pour l’entreprise.

La numérisation du back-office d’une entreprise peut lui permettre de gagner en productivité et en fidélisation, grâce à une expérience utilisateur singulière : les nouveaux usages du quotidien ont amené de nouvelles attentes et représentent de nouveaux défis pour les entreprises. Il ne faut néanmoins pas oublier que le digital reste parallèle à des développements très archaïques : on ne propose pas un service numérique sans avoir investi dans quelque chose de très concret, comme des entrepôts pour stocker les produits.

Si les start-ups ont d’emblée consacré une part conséquente de leur budget à la stratégie digitale, les grands groupes ont quant à eux pu prendre ce virage relativement vite et facilement grâce à des budgets IT dédiés : ils ont moins investi dans le back-office et davantage dans le digital et la R&D. Mais quid des PME ? Pour elles, on parle plutôt de « transition digitale ». Sans changer de business modèle, le digital leur apporte une vitrine supplémentaire. Pour cela, il leur faut néanmoins faire émerger un budget conséquent : un tiers de bénéfices nets sacrifiés sur trois ans. Un effort considérable, mais l’assurance de donner la force d’Amazon à des PME du transport ou de l’hôtellerie qui ont besoin du digital pour suivre les tendances du marché actuel. 
 


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Régis, Stéphen, Virginie, Sophie, Amélie, Nathalie, Jeanne, Louis-Marie, Bruno et Catherine.
Et Xavier PIETTRE.

Toute l’équipe du Cabinet R.C.V. Conseil se tient à votre disposition.

Bien cordialement,


Régis de la CROIX-VAUBOIS
Président
144 Bureaux de la Colline - 92213 Saint-Cloud cedex
Tel : 01.55.38.75.00 - Fax : 01.55.38.75.09
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