DOSSIER



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Rentrée 2016 : plaisir, bonne humeur, exigence ! Chiche !

Retour de vacances. Chacun a utilisé au mieux la coupure estivale pour se ressourcer, changer de rythme, s'ouvrir à d'autres sujets d'intérêt, développer ses sens,… et cette année sous le soleil !

Retour de vacances. Chacun est pris de vertige devant sa boîte mail, qui se remplit de façon accélérée, retrouve tous les sujets qu'il avait soigneusement oubliés ou évités.

Retour de vacances. Chacun se remet à arbitrer des conflits d'agenda et commence déjà à ne pas respecter ses bonnes résolutions et à faire des horaires à rallonge. Bref, le bénéfice des vacances va fondre comme glace dans la canicule de rentrée. En quelques jours, l'été semble appartenir à un lointain passé, tant l'immersion dans le quotidien nous capte intégralement.

On a à peine recommencé depuis quelques jours, que la routine nous guette avec son cortège d'obligations qui s'enchaînent et qui sont faites machinalement, par devoir. Or plus qu'à tout autre moment de l'année, le dirigeant se doit de diffuser dans cette période deux perceptions au sein de ses équipes : hauteur de vue et énergie. Hauteur de vue, car ce nouveau départ nécessite de réaligner tous les acteurs sur des priorités communes, de redonner du sens et de la perspective à l'action, de stimuler l'envie des acteurs de contribuer avec l'ensemble de leurs talents. Mais cette mise en perspective ne suffit pas. Elle doit s'accompagner de l'impulsion émise par le dirigeant lui-même. Il n'est pas nécessaire d'avoir passé deux semaines, en août, devant les Jeux Olympiques pour constater que les gagnants avaient ce feu intérieur, cette détermination et cette énergie qui ont fait la différence. Chez le dirigeant, ce feu est contagieux. Plus encore, il est amplifié, démultiplié. Et il en est de même de sa morosité, de ses préoccupations et de son enfermement. Attention, transmettre de l'énergie, ce n'est pas être un « agité du bocal » qui intervient sur tout, fait tout mieux que les autres et se place au centre de tout ce qui se passe. On a vu des dirigeants politiques et d'entreprise fonctionnant comme cela, et l'effet a été de paralyser leur entourage, occupé à les canaliser. Diffuser de l'énergie à ses équipes est beaucoup plus subtil. Comment le dirigeant peut-il réfléchir à sa propre façon de diffuser de l'énergie ? Premier élément capital : son plaisir ! En a-t-il suffisamment et surtout comment l'exprime-t-il ? Centré sur les dysfonctionnements et considérant que ce qui marche est la normalité, il se laisse imprégner par l'accumulation des insatisfactions et oublie même qu'il a du plaisir. Ensuite, l'énergie. Elle va avec la bonne humeur. Enjoué, souriant, positif, le dirigeant rayonne et stimule. Pour y arriver, cela suppose une discipline. Les pensées moroses du chef, il se les garde. Car l'essentiel n'est pas ce qu'il ressent, mais l'effet qu'il produit chez les autres. La bonne humeur se cultive et a un effet de réciprocité qui s'amplifie vite. Enfin, dernier ingrédient de la diffusion de l'énergie : l'exigence. Etre ambitieux, mettre la barre haut, pousser au-delà de ce qui parait réalisable, transmet de l'énergie.

A chacun de réfléchir à son cocktail personnel qui mélange : plaisir, bonne humeur et exigence. Autant d’attitudes qu’il faudra aussi savoir doser et communiquer positivement lors des entretiens de recrutement des futurs collaborateurs !... 
 
 

Régis de la CROIX-VAUBOIS
Président


 


 

Confiants, les cadres bougent,... et sont augmentés !

Changer d’entreprise reste le meilleur moyen d’être augmenté ! (avec Les Echos).

Plutôt satisfaits de leur situation professionnelle, mais lucides sur leurs perspectives d'augmentation et d'évolution : c'est en résumé l'état d'esprit des cadres du secteur privé tel que dressé par l'Association pour l'emploi des cadres (Apec) dans le millésime 2016 de son rapport annuel sur l'évolution de leurs rémunérations. La reprise se fait sentir, mais pas encore suffisamment pour balayer toutes les incertitudes, pointe l'étude réalisée en interrogeant 18.000 personnes et publiée récemment.

Pas encore suffisamment peut-être, mais sur certains critères qui fondent la satisfaction globale des cadres, l'optimisme a gagné des points. C'est le cas des conditions matérielles de travail, de l'équilibre entre vie professionnelle et vie privée. Mais pas de la rémunération, la part de ceux qui s'estiment heureux de leur sort -- 58 % en l'occurrence -- n'ayant pas bougé par rapport aux deux éditions précédentes du sondage.

Dans ce contexte, les cadres sont de moins en moins nombreux à estimer que leur pouvoir d'achat s'érode : l'Apec avait déjà observé cette tendance l'année dernière, elle se ¬confirme donc. Et près d'un sur deux compte demander une augmentation cette année, quand un tiers des cadres interrogés pensent en obtenir une, qu'ils l'aient - ou non - sollicitée.

« Stratégie » gagnante ?
Pour ceux qui désirent améliorer leurs émoluments, le coup de zoom de l'Apec sur l'évolution des salaires l'année dernière est riche d'enseignement. La « stratégie » gagnante ? Changer d'entreprise sans passage par la case chômage. Ils ne sont pas nombreux à avoir sauté le pas, moins de 7 %, mais plus de deux tiers d'entre eux en ont été augmentés. Soit, en proportion, deux fois plus que ceux qui ont quitté une entreprise pour une autre mais avec une période d'interruption de travail entre les deux postes. Et pour ceux qui ont bougé, mais en interne ? Ils sont 19 % à avoir expérimenté un tel changement et un sur deux en a profité sur sa fiche de paie. Avec un grand écart type, cependant, entre ceux à qui on a forcé la main (seulement 36 % d'entre eux ont été augmentés) et ceux qui ont grimpé dans la hiérarchie ou qui ont gagné en responsabilités (80 %).

Restent tous les autres, c'est-à-dire les trois cadres sur quatre qui n'ont pas évolué, soit le gros des troupes. Seuls 40 % d'entre eux ont fini l'année mieux payés qu'ils ne l'avaient démarrée. Comme en 2014, ces cadres « non mobiles », selon la terminologie de l'association professionnelle, sont, en proportion, ceux qui ont été le moins bien traités par leur DRH.


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Fuir la région parisienne,... à tout prix ?

Métro, boulot, dodo... Une routine qui visiblement ne satisfait pas les cadres de la région Ile-de-France. Selon l'enquête "Les villes préférées des cadres parisiens" du site Cadremploi.fr, 80 % d'entre eux veulent fuir la capitale. 

Sur les 3689 personnes interrogées par un questionnaire en ligne de Cadremploi, 41 % des cadres franciliens se déclarent satisfaits de leur situation en raison de l'intérêt qu'ils portent à leur métier ou de l'attrait culturel de la capitale. Cependant, 80 % d'entre eux finissent malgré tout par rêver d'un exode dans les prochaines années.

Parmi ceux qui rêvent de quitter l'Île-de-France, les trois quarts évoquent un déménagement dans les trois ans, plus d'un tiers d'ici un an.

Pour partir, 83 % se disent prêts à des concessions, que ce soit une baisse de salaire (54 %), une reconversion professionnelle (48 %), un niveau de poste moins élevé (36 %) ou encore un éloignement temporaire de sa famille (32 %).

Trop de temps perdu dans les transports
L'étude explique qu'un cadre sur deux interrogé (53 %) n'est pas satisfait de sa situation, notamment à cause du temps perdu dans les transports (70 %), du coût du logement (57 %) et d'un environnement trop pollué (55 %).

Un tiers des sondés vivent à Paris, les deux tiers en banlieue, et 44 % ont un temps de transport supérieur à 45 minutes pour se rendre à leur travail.

Pour aller où ?
56 % citent comme ville préférée Bordeaux. Principal argument en faveur de l'exil girondin; le climat et sa proximité avec la mer. Lyon recueille ensuite 52 % des suffrages. La troisième ville de France attire grâce aux opportunités professionnelles qu'elle offre. Nantes est également cité par 49 % des cadres franciliens cette année, grâce à son dynamisme économique. Sont ensuite citées, les villes de Toulouse, Montpellier, Nice, Rennes, Marseille, Lille et Strasbourg.



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En bref !

Encore un bon trimestre pour la construction !

Les résultats de la construction à fin juin 2016 montrent que la reprise observée depuis plus d'un an, en termes d'autorisations de logements comme de mises en chantier, se poursuit.

Le nombre de logements autorisés à la construction s'établit à 103.800 sur 3 mois, soit une hausse de 5 % par rapport au trimestre précédent, et de 10,3 % par rapport au trimestre avril-juin 2015. Et sur une année, le nombre de permis de construire délivrés a même bondi de 8,9 % pour s'établir à 405.700 unités.



Les professionnels de l'immobilier confiants

Selon un dernier sondage CSA pour le Crédit Foncier, près de quatre professionnels de l'immobilier sur cinq se disent optimistes pour le marché du logement sur les 12 prochains mois, une proportion en hausse de 4 points en 4 mois. Dans le neuf, 66 % des professionnels sondés anticipent une stabilisation des prix contre 52 % dans l’ancien.

Motifs de l'optimisme : le niveau des taux d’intérêt de crédit historiquement bas (94 %) et l’élargissement du Prêt à taux zéro depuis le 1er janvier (72 %).

Les pessimistes (21 %) invoquent comme facteurs négatis le contexte économique (86 %) et le niveau du pouvoir d’achat des ménages (65 %).

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Régis, Stéphen, Virginie, Sophie, Amélie, Nathalie, Jeanne, Louis-Marie et Catherine.
Et Xavier PIETTRE.

Toute l’équipe du Cabinet R.C.V. Conseil se tient à votre disposition.

Bien cordialement,


Régis de la CROIX-VAUBOIS
Président
144 Bureaux de la Colline - 92213 Saint-Cloud cedex
Tel : 01.55.38.75.00 - Fax : 01.55.38.75.09
contact@rcv-conseil.com

www.rcv-conseil.com

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R.C.V. Conseil, l'ensemble de nos prestations :

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