Bonjour,

Notre Cabinet de recrutement R.C.V. Conseil et son équipe sont heureux de vous présenter leur dernier dossier :
- Les embauches de cadres sont reparties à la hausse !
- L'édito : « Recrutement et outplacement : nous avons des opportunités pour vous ! »,
- Les opportunités professionnelles traitées actuellement par R.C.V. Conseil,
- Salaires 2015 : peu d'évolution sauf pour les experts et ceux qui changent d'entreprise !...,
- Les tendances de l'opinion,
- Le « Chargé de recrutement du trimestre»,
- Des témoignages de profils dont R.C.V. Conseil a géré le recrutement.

Spécialisés depuis plus de 16 ans dans les métiers du BTP, des énergies, de l'immobilier, mais aussi de la banque-assurance, de l'industrie et des services aux entreprises, nous espérons pouvoir vous accompagner sur tous types de fonction et particulièrement en production, exploitation, études, vente, technique, management,… (
Site R.C.V. Conseil).

***********************

Recrutement et outplacement : nous avons des opportunités pour vous !

En tant que Cabinet de recrutement et « outplaceur », nous nous trouvons à un point où l’équilibre est rarement atteint, celui qui s’établit idéalement entre offres et demandes d’emploi. S’il revient aux gouvernements et à la macro-économie d’établir celui-ci au niveau national, notre métier, lui, consiste à accompagner individuellement entreprises et salariés dans leur recherche d’optimisation des compétences et de la carrière professionnelle.

C’est donc individuellement pour chaque entreprise partenaire et pour chaque profil que nous travaillons à cette optimisation. Conscients des besoins et recherches des deux parties, nous disposons d’un maximum d’informations afin d’optimiser cette rencontre, le « précieux » facteur humain constituant la variable d’ajustement qui fait le reste.

C’est la raison pour laquelle, dans le cadre de cette démarche qualitative et individualisée, nous savons que nous ne ferons pas rentrer « des ronds dans des carrés » ; concrètement, une entreprise ne recrutera pas par défaut, et un profil ne changera pas d’entreprise sans une vraie évolution à la clé.

C’est dans cet état d’esprit que nous accompagnons des centaines d’entreprises et de candidats chaque année dont les destins professionnels se rejoignent pour le meilleur.

Mon équipe peut aussi le faire pour vous. Vous êtes en poste : nous étudions les opportunités d’évolution adaptées avec vous ; vous êtes sur le marché de l’emploi : nous vous accompagnons dans vos démarches jusqu’à la validation de la période d’essai de votre CDI.

Nous sommes à votre disposition pour en parler ensemble.  



Régis de la CROIX-VAUBOIS
Président du Cabinet de recrutement R.C.V. Conseil
Tel : 01.55.38.75.00
direction@rcv-conseil.com







N'HESITEZ PAS A DEPOSER OU ACTUALISER VOTRE C.V. SUR NOTRE SITE : www.rcv-conseil.com

Le Chargé de Recrutement du trimestre

Jacques HISTEL : Diplôme d’Etudes Supérieures en Management - ESC Grenoble (2003), DESS Management des Ressources Humaines - IAE d’Aix-en-Provence (2004), Chargé de recrutement chez R.C.V. Conseil depuis 2008. Il est responsable des activités Génie Civil, VRD, Travaux Publics, Rail, Contrôle Technique, Expertise, Structures.


3 questions à Jacques HISTEL :

Le marché de l’emploi donne des signes de reprise ; le ressentez-vous chez les entreprises pour lesquelles vous intervenez ?
En effet, nous le ressentons depuis le début de l’année 2015. En revanche, si les postes ne sont pas nombreux, ils sont bien définis et s’inscrivent dans un contexte de réelles perspectives à court/moyen terme. Il y a de vraies exigences de la part des entreprises pour lesquelles nous intervenons sur les qualités techniques et humaines des candidats présentés, et du fait d’un nombre de recrutements réduits, une gestion de l’intégration poussée pour favoriser une prise de poste rapide. Nous évoluons donc dans un contexte fortement qualitatif.

Que recherchent aujourd’hui prioritairement les entreprises chez les profils qu’elles recrutent ?
Nous rencontrons deux types de spécialités particulièrement demandées actuellement chez nos clients entreprises : les compétences commerciales et les compétences techniques avancées. Par ailleurs, ces spécialités s’accompagnent généralement d’une dimension managériale. Et bon nombre de nos clients sont prêts aujourd’hui à accompagner nos profils recrutés vers cette évolution managériale même s’ils n’en viennent pas.

Dans ce climat encore incertain, comment réagissent les profils actuellement en poste que vous approchez ?
Avant de contacter un profil, nous prenons le temps de valider au maximum la pertinence de son parcours avec les postes que nous avons à pourvoir. Notre objectif est d’établir un échange constructif et précis, quelle que soit l’issue de cette discussion. Après le premier contact établi, compte tenu de notre ciblage, nous poursuivons généralement le processus d’autant à ce que nous veillons que les opportunités présentées constituent une évolution réelle.

Quels conseils pouvez-vous donner aux salariés dans le contexte actuel ?
Le contexte actuel reste favorable aux profils ambitieux, car les postes à pourvoir permettent des évolutions à court ou moyen terme. Nous conseillons bien évidemment de rester toujours en veille afin d’éviter de passer à côtés d’opportunités qui risquent de ne pas se représenter…
Dans ce cadre et pour illustrer cette idée, nous avons croisé récemment un profil expert, travaillant sur un projet du Grand Paris. Sa mission se termine en fin d’année 2015, le poste que nous lui avons présenté étant à pourvoir immédiatement (moins les trois mois de préavis). Au lieu de renoncer d’emblée, le profil a rencontré notre client pour que finalement ce dernier accepte de le recruter… fin 2015 ! Ainsi, nous conseillons à tous le pragmatisme des rencontres car tout est possible.





 

Les tendances de l'opinion (avec notre partenaire "La Lettre de l'Opinion")

Regard des actifs sur l'emploi
La fusion du CDD et du CDI est une bonne idée pour 55 % des actifs. Pour les autres, certaines conditions sont requises pour accepter cette idée : que le nouveau contrat doit être aussi protecteur que l'actuel CDI à partir d'une certaine ancienneté (47 %) ou que les abus soient punis (33 %).
37 % des actifs prêts à créer leur entreprise, dont plus de la moitié des jeunes de moins de 30 ans (54 %). Pour les encourager, la mesure la plus populaire serait, pour les créateurs d’entreprise, qu’ils puissent retrouver leur poste si jamais leur entreprise ne marche pas…
6 actifs sur 10 se disent prêts à changer complètement de secteur ou de métier, à condition que ce nouveau métier les intéresse (41 %) et que leurs revenus soient au moins égaux à leurs revenus actuels (39 %). Enfin, plus d’un actif sur deux (51 %) est prêt à aller travailler dans une autre région, 40 % à changer de pays.
TNS Sofres - 21 janvier 2015.


Le modèle social a vécu
Le modèle social français, qui regroupe un ensemble de dispositifs qui répondent aux besoins fondamentaux de la société (comme l'emploi ou la santé,…), a vécu : 39 % des Français estiment qu’il doit être transformé en profondeur et plus d’un Français sur deux (52 %) qu’il doit être aménagé à la marge. Au final, seuls 8 % des Français se prononcent pour le statu quo.
OpinionWay - 3 avril 2015.

Les Français et la pierre : quand le bâtiment va, tout va ?
Une majorité de Français (58 %) estime que l’on ne construit pas assez de logements en France, un sentiment particulièrement ressenti par les Franciliens (64 %).
Ce besoin de logements est corrélé à la taille de la commune où l’on habite : en moyenne 62 % des Français sont satisfaits de l’offre de logements dans leur commune mais l’insatisfaction grandit dans les grandes villes : 52 % des habitants de l’agglomération parisienne ne sont pas satisfaits du parc de logements de la capitale.
Les principaux freins perçus en matière de construction sont avant tout les coûts, la spéculation foncière et des normes administratives jugées trop compliquées. Sur le terrain de la simplification, l’effort de la simplification des normes entamé par le gouvernement n’est pas encore perçu par les Français (77 % ne le percoivent pas).
CSA - 24 mars 2015.

Français : ce qui les rassemble et ce qui les divise
- Ce qui les divise
Les inégalités sociales et économiques sont le premier facteur de divisions des Français (90 %), devant l’individualisme et le « chacun pour soi » (85 %). Pour les Français, les médias qui favorisent les polémiques jouent un rôle important dans ce qui divise (84 %), de même que les minorités qui cherchent à se dissocier (81 %) ou les propositions politiques extrémistes (77 %).
- Ce qui les rassemble
Quelques semaines après les attaques, la lutte contre les attentats joue un rôle incontestable (92 %), de même que la liberté de la presse (88 %). Les valeurs de la devise républicaine sont également un point de rassemblement important (86 %), tout comme les grandes institutions françaises : l’école (87 %), la sécurité sociale (86 %), mais aussi la police (85 %).
Ipsos - 6 février 2015.

Infos, la quantité ne fait pas la qualité
Par rapport à il y a dix ans, 85 % des Français estiment qu’ils disposent de plus en plus d’informations sur l’actualité. Ce qui ne signifie pas pour autant que l’information gagne en qualité, loin s’en faut. Pour les Français, l’information est aujourd’hui moins vérifiée (71 % des Français le pensent, mesure réalisée avant l’annonce erronée par l’AFP du décès de Martin Bouygues), moins hiérarchisée (64 %), moins intéressante (59 %) et moins approfondie (55 %).
Résultat, les Français (68%) se sentent perdus face à la masse d’informations disponible et sur 10 articles sur Internet, les Français, en moyenne, n’en lisent que 4,5 en entier. Aussi, 66 % d'entre eux se disent intéressés par un service en ligne gratuit qui livrerait un résumé de tous les points de vue sur l’actualité.
Odoxa - 5 mars 2015.

Les Français et leur fonction publique
Les trois quarts des Français (74 %) se déclarent favorables à la mise en place de trois jours de carence dans le secteur public lors d’un arrête maladie, comme dans le secteur privé.
Concernant les retraites des fonctionnaires, actuellement calculées sur les six derniers mois de salaire, le rapprochement vers les règles du privé (en allongeant la période prise en compte aux dix dernières années d’activité et en intégrant les primes, qui représentent souvent une part importante du revenu des fonctionnaires) fait également l’objet d’une large adhésion : 82 % des Français y sont favorables (+5 points depuis juin 2013), dont 52 % "très favorables".
Enfin, deux tiers des Français (67 %) se déclarent favorables à la remise en cause du principe de sécurité de l’emploi pour les nouvelles embauches d’agents de la fonction publique.
Ifop - 10 février 2015.

Vivre ailleurs, mais où ?
S’ils le pouvaient, 42 % des Français déclarent qu’ils partiraient vivre dans un autre pays en Europe. 22 % privilégieraient le continent Nord-Américain. 20 % des Français ne quitteraient pas la France pour aller vivre ailleurs, même s’ils le pouvaient.
Dans le détail du classement par pays, le Canada arrive en tête, choisi par 14 % des personnes interrogées, devant la Suisse (9 %) et les Etats-Unis (8 %). Les retraités et les étudiants sont plus nombreux à envisager les destinations lointaines, comme l’Amérique du Nord ou l’Océanie. Les catégories faisant souvent face à davantage de contraintes familiales et professionnelles (les actifs et les personnes issues des classes d’âge intermédiaires) préfèreraient l’Europe.
CSA - 3 février 2015.

Les embauches de cadres sont reparties à la hausse !

174.000 embauches sont prévues en 2015 par l'Apec. Le rebond entamé en 2014 se confirmerait. Mais cette reprise, tirée par les services, ne profite encore ni aux débutants ni aux seniors (avec Les Echos).

Enfin une courbe qui s'inverse sur le front de l'emploi ! Selon les données publiées hier par l'Apec, les embauches de cadres sont clairement reparties à la hausse en 2014, avec 169.600 recrutements effectués, soit 4 % de plus que l'année précédente. Surtout, le mouvement devrait se prolonger cette année, l'Association pour l'emploi des cadres prévoyant quelque 174.000 embauches en 2015. Ce total pourrait même s'avérer plus élevé : les 11.000 entreprises du panel ont été interrogées en octobre et novembre, époque où les employeurs et les économistes se montraient un peu plus pessimistes qu'aujourd'hui sur l'évolution de la conjoncture. En tout état de cause, et en dépit de départs à la retraite de cadres qui devraient repartir à la hausse, on restera encore loin des niveaux record connus avant la crise, avec 200.000 embauches ou plus par an de 2006 à 2008 inclus. Selon le modèle économétrique bâti par l'Apec, la France pourrait, avec une croissance anticipée à 1,3 % en 2016 puis 1,5 % l'année suivante, retrouver de tels sommets en 2017.

La reprise, si elle se confirme, ne devrait toutefois pas profiter dès cette année à tous les cols blancs. Dans le prolongement du phénomène déjà perçu en 2014, « on devrait avoir un marché à plusieurs vitesses en 2015 », prévient Jean-Marie Marx, directeur général de l'Apec. Les services, qui concentrent 70 % des recrutements de cadres, devraient continuer de tirer le marché en vertu de la poursuite d'un « effet de rattrapage », en particulier dans l'informatique, le conseil et la banque-assurance. L'industrie, boostée par l'aéronautique, devrait de son côté prolonger le rebond entamé en 2014. Les recrutements dans le commerce devraient peu ou prou se stabiliser après plusieurs années de repli. A l'opposé, la construction, la distribution, les transports et la logistique risquent de garder le pied sur le frein.

L'Ile-de-France en pointe
La sélection par l'expérience sera elle aussi encore de rigueur : les cadres affichant de 1 à 10 ans d'expérience restent, de loin, les profils les plus courtisés - ils ont représenté plus d'une embauche sur deux l'an passé. Un phénomène classique en période de crise ou de croissance molle : « Les entreprises cherchent alors des éléments immédiatement opérationnels », explique l'Apec Conséquence, les jeunes diplômés ne peuvent espérer qu'un rebond limité de leurs embauches, attendues autour de 36.000, après deux années de recul (35.200 en 2014, en recul de 5 %). A comparer au record de 2007, où 47.900 débutants avaient été embauchés. Pour les seniors (plus de vingt ans d'expérience), l'année s'annonce encore noire : ils ne devraient représenter que 5 % des recrutements. L'Apec précise toutefois que, faute de pouvoir toutes trouver les profils les plus recherchés, les entreprises « pourraient revoir leurs exigences et, in fine, recruter davantage de seniors et de débutants » que prévu.

Ce mélange de volonté de continuer de relancer la machine, en profitant notamment des baisses de charges du pacte de responsabilité, tout en restant prudent face à un contexte économique jugé encore incertain, se retrouve dans le profil des fonctions recherché, avec un rebond attendu des recrutements en recherche et développement mais un relatif attentisme sur les postes de commerciaux (en légère hausse après un effritement l'an passé). A noter enfin que, comme chaque année, un recrutement sur deux devrait intervenir en Ile-de-France.


*****************************

 

 

****************************

Des opportunités à saisir, traitées par R.C.V. Conseil actuellement :

Vous trouverez ci-dessous les liens vers différents postes (h/f) susceptibles de vous intéresser, actuellement confiés à notre Cabinet :

Immobilier :
- Directeur Opérationnel Immobilier (Lyon)
- Directeur Opérationnel Immobilier (Chambéry)

Bâtiment :
- Chargé Etudes de Prix Bâtiment confirmé (IDF)
- Responsable adjoint Bureau d'Etudes Menuiserie (Chartres)
- Chargé Etudes de Prix Bâtiment (Alsace)
- Chargé d'Affaires confirmé Façades - Enveloppe du Bâtiment (IDF)
- Chargé Etudes de Prix Bâtiment (IDF)
- Conducteurs Travaux Principaux Bâtiment (Bourgogne)
- Chargé Etudes de Prix Bâtiment (Nancy)
- Chargé Etudes de Prix Bâtiment confirmé (Reims)

Génie civil et travaux spéciaux :
- Responsable Bureau d'Etudes Travaux Spéciaux (Laval)
- Conducteur Travaux Expérimenté Génie Civil (IDF)
- Géotechnicien Expert (IDF)
- Ingénieur Géotechnicien confirmé (IDF)

Contrôle Technique Construction :
- Chargés d'Affaires Contrôle Technique Construction (plusieurs postes)
- Chargé d'Affaires Contrôle Technique Construction (Aix-en-Provence)
- Chargé d'Affaires Contrôle Technique Construction (Toulouse)

Génie Electrique et génie Climatique :
- Responsable d'Affaires CFO-CFA (Dijon)
- Responsable d'Affaires CVC Nucléaire (Nancy)
- Responsable de Groupe CVC (IDF)
- Responsable d'Affaires CVC confirmé (Alençon)
- Chargé d'Affaires CFO-CFA (IDF)
- Responsable Etudes CVC (Paris)
- Technicien Etudes d'Exécution Electricité (Auxerre)
- Ingénieur Etudes Electricité CFO-CFA (Yvelines)
- Chef de Projet CVC (Seine-Saint-Denis)
- Ingénieur CVC confirmé (Ivry-sur-Seine)

Industrie :
- Directeur Logistique (Essonne)
- Responsable Technique (Essonne)
- Animateur de Synthèse (Yvelines)

Santé :
- Médecins du Travail (Chartres)

Divers :
- Chargé de Recrutement (Saint-Cloud)

***********************



******************************

Salaires 2015 : peu d'évolution sauf pour les experts et ceux qui changent d'entreprise !...

Pas d'amélioration de la feuille de paie à attendre cette année, sauf pour les experts. Les dirigeants, garants des résultats, s'arrogent les plus belles enveloppes (avec Les Echos).

La stagflation s'est poursuivie en 2014 et persistera cette année avec une prévision d'augmentation autour de 1,5 %. Seuls les cadres qui acceptent de changer de job se verront gratifier d'une progression de 10 à 20 %.

Unique population délibérément choyée, celle des « experts ». Plus la connaissance est rare, plus les prix de marché s'envolent au mépris des grilles. Le « risk manager », le « compliance officer », le « data scientist », ou encore le directeur marketing digital devraient tirer leur épingle du jeu pour la seconde année d'affilée avec une augmentation du fixe pouvant aller jusqu'à 25 %. Paradoxe, les directeurs des ressources humaines (DRH), qui éprouvent des difficultés à retrouver un emploi sur un marché peu « liquide », devraient voir leur salaire bondir. Compte tenu de l'ampleur des chantiers ouverts - formation, pénibilité, etc... -, ces « HR business partners » ont été revalorisés (de 120 à 300.000 euros) pour des périmètres variés. Les mieux rémunérés héritent de fortes responsabilités en matière de transformation.

Un argument généralisable à l'ensemble des fonctions dirigeantes : « En période de gros temps, l'entreprise récompense le respect des objectifs, des comptes et des actionnaires. » 

*******************************


********************************

 

********************************

TEMOIGNAGES

Parmi les nombreux profils qui ont bénéficié de l'expertise de notre équipe de Chargés de recrutement pour saisir une nouvelle opportunité professionnelle au cours de ce dernier trimestre, nous avons demandé leur opinion à deux d'entre eux :

Titulaire d'un BEP Métré du bâtiment et d'un BEP/CAP Electrotechnique, Laurent GUIGNARD a géré pendant 14 ans l'entreprise d'électricité TREPAS, avant d'intégrer le Service Electricité d'une importante entreprise générale.

Après 3 années comme Conducteur Travaux TCE, et 4 années comme Métreur et pilote de chantier au sein d’une importante société d’ingénierie de la construction, vous avez repris l’entreprise familiale d’électricité, spécialisée en installations CFO/CFA, pour des logements ou du tertiaire, en neuf et rénovation. Que retenez-vous de cette expérience de Chef d’entreprise ?
C'est un changement total de la vie, d'une prise différente des responsabilités envers les salariés et de la vie de famille. Ce que je retiens de cette expérience, c'est d'avoir acquis une certaine confiance en moi-même vu les épreuves et expériences passées pendant ces 14 années d'activités. Les 10 premières années ont été fleurissantes mais les dernières ont été décourageantes vu la crise actuelle et les problèmes de trésorerie ce qui m'a amené à stopper la gérance de l’entreprise et à retrouver un emploi comme salarié position certainement davantage sécurisée aujourd’hui.

Vous avez intégré par l’intermédiaire de R.C.V. Conseil une grande entreprise générale comme Adjoint au Responsable du Service Electricité ? Pourquoi ce choix ?
Outre le souhait de retrouver un rythme de travail plus « normal » et s’assurer d’un salaire régulier, j’ai souhaité retrouver une ambiance et les avantages d'une importante entreprise avec des projets intéressants et des moyens pour les réaliser.

Que pensez-vous de l’intervention du Cabinet R.C.V. Conseil tout au long du processus de recrutement ?
Un travail sérieux a été réalisé par R.C.V. Conseil et son équipe, des contacts téléphoniques réguliers pour connaître l'évolution du recrutement, et surtout des conseils avant chaque entretien, que j'ai beaucoup appréciés.

L’adaptation à un poste salarié lorsque l’on a été Chef d’entreprise est-elle difficile ?
Les premiers mois ont nécessité une adaptation, surtout par le fait de recevoir des directives lorsque vous en avez-vous–même donné pendant 14 ans… Mais, comprenant les sens de directives légitimes et d’une hiérarchie compétente, je me suis bien intégré dans cette entreprise pour mon nouveau départ professionnel.

Quels conseils donneriez-vous à un Cadre pour réussir sa mobilité professionnelle ?
De ne pas hésiter à intervenir dans plusieurs entreprises afin de monter en compétences et de garder le meilleur de chaque expérience. 


************************


Depuis 2009, Maître d'oeuvre TCE, Coordinateur SSI et Conseil au sein d'un Bureau d'Etudes, Michael BELLIARD a intégré l'agence parisienne d'un grand BET comme Chef de Projet en maitrise d'oeuvre TCE.

Titulaire d’un bac pro maintenance des équipements industriels en 2000, vous avez intégré la RATP sur un poste en maîtrise d'ouvrage technique, puis un bureau d'études techniques sur un poste de Chef de projet en maîtrise d'œuvre TCE. Quelles sont, à votre avis, vos qualités qui vous ont permis cette évolution de carrière ?
J’essaie toujours de faire preuve d’une bonne capacité d’adaptation. J’ai évolué dans des contextes plutôt variés, dans le secteur public à la RATP, mais également pour des SEM, du parapublic voire même aujourd’hui pour des maîtrises d’ouvrages privées. J’ai également su m’adapter aux exigences de mes différents clients, chacune réellement spécifique, qu’il s’agisse du milieu hospitalier, du luxe ou des départements stores par exemple.
J’ai également toujours eu la volonté d’évoluer professionnellement. J’essaie de ne pas me reposer sur mes acquis, d’être curieux et ouvert d’esprit mais surtout, de relever sans cesse de nouveaux challenges, quitte à sortir de ma zone de confort dans les premiers temps.

Vous avez obtenu un BTS Etudes & Economies de la Construction en 2013 ; comment s’inscrivait cette formation dans le cadre de votre parcours professionnel ?
Cette formation m’a permis d’une part de concrétiser et formaliser les différentes compétences que j’avais acquises sur le terrain, au travers de mon expérience chez CISEBA, mais a également été un véritable atout me permettant d’étoffer mes savoir-faire pour accéder aujourd’hui au poste de Chef de projet TCE.

Justement, par l’intermédiaire du Cabinet R.C.V. Conseil, vous avez intégré un important bureau d’études pluridisciplinaire comme Chef de Projet ; qu’est-ce qui a motivé votre souhait d’évolution professionnelle ?
Je souhaitais acquérir de nouvelles compétences mais surtout élargir ma vision du chantier. Grâce à ce poste, je dispose aujourd’hui de nouvelles responsabilités, ce qui implique de nouvelles compétences à développer. Je dois aujourd’hui gérer une équipe pluridisciplinaire mais également les interfaces avec les différents acteurs du projet.

Que pensez-vous de l’intervention du Cabinet tout au long du processus de recrutement ?
R.C.V. Conseil a réellement été moteur du processus de recrutement. Le Cabinet m’a proposé un poste adapté à mes compétences, mais surtout à mes attentes en terme d’évolution professionnelle. Il m’a également préparé et accompagné efficacement à chacune des étapes du processus.

Dans le contexte actuel, quels conseils donneriez-vous aux salariés pour gérer leur évolution professionnelle ?
Je crois surtout qu’il ne faut pas se reposer sur ses acquis et ne pas hésiter à prendre des risques. Dans le contexte actuel, il est essentiel de rester ouvert aux différentes opportunités que peut offrir le monde professionnel et rester curieux. 

***************************


**************************



Dans le cadre de son développement, notre Cabinet est maintenant installé dans les Bureaux de la Colline à Saint-Cloud. Triplant la surface de nos locaux, notre équipe travaille aujourd'hui dans d'excellentes conditions d'accueil des clients et candidats du Cabinet, au 11ème et dernier étage d'un bâtiment avec une vue exceptionnelle sur Paris et le parc de Saint-Cloud. Nous serons heureux de vous y accueillir !

L’équipe du Cabinet R.C.V. Conseil reste à votre disposition.

Bien cordialement,


Régis de la CROIX-VAUBOIS
Président
144 Bureaux de la Colline - 92213 Saint-Cloud cedex
Tel : 01.55.38.75.00 - Fax : 01.55.38.75.09
contact@rcv-conseil.com


 



R.C.V. Conseil, l'ensemble de nos prestations :

- Recrutement,
- Prestation de Chasse (contrat de mission),
- Dossier d’Evaluation (approche directe),
- Prise (contrôle) de références,
- Bilan de compétences (formation),
- RPO (externalisation du recrutement),
- Outplacement (reclassement),
- Conseil en orientation et recherche d’emploi (formation),
- Portage salarial,
- Test de personnalité ou d’aptitude.

N'hésitez pas à nous consulter.


 

 




 

 

 

Suivez R.C.V. Conseil sur Twitter

R.C.V. Conseil diffuse ses opportunités professionnelles sur son compte Twitter, ainsi que ses analyses et son actualité.

Nous serions ravis de vous compter parmi nos abonnés, ainsi que de vous suivre !

Rejoignez-nous sur Twitter : @rcvconseil