Retrouvez les dossiers d'actualité du mois par le Cabinet de recrutement R.C.V. Conseil : - Le télétravail permet-il d'augmenter la productivité ? Oui… à condition de trouver un point d'équilibre et de réorganiser le travail sur mesure. Tout en évitant deux écueils, - Le temps de trajet, un enjeu RH désormais incontournable, - Construction, matériaux : la porte étroite, - L'édito : "Fin de la société du travail ?", - La Chargée de recrutement du mois. Spécialisé depuis plus de 24 ans dans les métiers du BTP, de l'Industrie, des Energies, des Services aux entreprises, de la Santé et de l'Immobilier, nous répondons à vos besoins sur les profils production, exploitation, études, commerciaux, techniciens, managers,… (www.rcv-conseil.com).
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Fin de la société du travail ?
Dans une société du travail, on peut s'attendre à vérifier trois propositions. D'abord, le travail permet de changer de niveau de vie. Ensuite, la majorité de ce que les gens possèdent provient de leur travail. Enfin, ceux qui travaillent vivent mieux que ceux qui ne travaillent pas. Qu'en est-il de la société française en ce début du XXIe siècle ? Dans les années 1950 à 1970, avec une évolution annuelle moyenne du pouvoir d'achat autour de 4 à 6 % (d'après les séries longues de l'Insee), on doublait effectivement son niveau de vie en une quinzaine d'années de travail. Dans les décennies suivantes, il fallait plutôt une vie entière de travail, environ quarante ans. Depuis une dizaine d'années, ce n'est plus accessible à la grande majorité des travailleurs : avec une évolution du pouvoir d'achat qui tangente le 1 % par an, il faudrait maintenant plus de soixante-dix ans de travail pour vivre deux fois mieux. Dit autrement, travailler ne permet plus à la plupart des gens, aujourd'hui, de changer de niveau de vie. Est-ce que le patrimoine des personnes est d'abord le fruit de leur propre travail ? Non. D'après le rapport du Conseil d'analyse économique « Repenser l'héritage » (décembre 2021), la fortune héritée représente aujourd'hui 60 % du patrimoine total, contre 35 % dans les années 1970. Autrement dit, la majorité de ce que les Français possèdent est due au hasard de leur naissance, et non à leur mérite individuel. Même ceux qui travaillent le plus (les 1 % les plus rémunérés, au-delà de 8.700 euros net par mois) ne peuvent plus acquérir, par toute une vie de travail, le patrimoine moyen des héritiers les plus chanceux (le Top 1 % des héritiers d'une génération reçoit en moyenne 4,2 millions d'euros nets de droits). Est-ce qu'alors ceux qui travaillent vivent mieux, en moyenne, que ceux qui ne travaillent pas ? Non plus. Les chiffres du Conseil d'orientation des retraites de février 2023 sont limpides : en prenant en compte les loyers imputés, c'est-à-dire en tenant compte de la différence entre le fait d'être propriétaire ou pas de son logement, les retraités français ont un niveau de vie supérieur non seulement à l'ensemble de la population, mais aussi à celui des actifs. Certes, l'objection traditionnelle d'un droit à une pension gagnée à la sueur d'une vie de travail tient sur le principe, mais elle ne tient pas sur le niveau : les pensions actuelles sont supérieures aux cotisations acquittées pendant la vie, de 30 à 50 %, pour des raisons démographiques. Il est urgent de remettre le travail et le mérite au fondement de la société. Régis de la CROIX-VAUBOIS Président
La Chargée de Recrutement du mois
Mailys DELECOURT : Infirmière diplômée de l'Ifsanté à l'Institut Catholique de Lille, impliquée pendant des années dans le milieu associatif notamment chez les scouts, elle a passé un an en Colombie et au Pérou comme Professeur d'anglais et Travailleuse sociale pour la réinsertion d'enfants. Elle intervient chez R.C.V. Conseil comme Chargée de recrutement au sein du pôle Bâtiment - Immobilier.
3 questions à Mailys DELECOURT :
Infirmière diplômée de l'Ifsanté à l'Institut Catholique de Lille, vous avez ensuite passé un an en Colombie et au Pérou comme Professeur d'anglais et Travailleuse sociale pour la réinsertion d'enfants ; comment en êtes-vous venue à rejoindre le secteur du recrutement ? J’ai toujours apprécié les relations humaines. Je voulais que mon métier me permette de développer mon sens relationnel et mieux connaitre les différents aspects du monde du travail. Après mes études d’infirmière, il me tenait à cœur de poursuivre une activité professionnelle en lien avec les autres. Je découvre dans le domaine du recrutement un environnement de travail qui me plaît. Vous avez rejoint l’équipe du Cabinet R.C.V. Conseil en septembre dernier, pourquoi le choix de notre Cabinet ? Mon envie de rejoindre le cabinet n’a été que croissante au gré des échanges avec Régis et l’équipe. J’ai trouvé au sein de R.C.V. Conseil des collègues partageant des valeurs communes et un sens de l’humain très développé. Par ailleurs, j’avais envie de me familiariser avec une variété de métiers que je ne connaissais pas. Qu’est-ce qui vous surprend le plus après ces quelques semaines d’exercice du recrutement et de la chasse de têtes ? J’ai été agréablement surprise par l’authenticité de notre relation avec les clients, comme par la qualité de nos échanges avec des candidats de tous horizons. Je m’épanouis jour après jour en travaillant sur des missions enrichissantes.
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R.C.V. Conseil, l'ensemble de nos prestations : - Recrutement, - Prestation de Chasse (contrat de mission), - Dossier d’Evaluation (approche directe), - Prise (contrôle) de références, - Veille Mobilité, - Bilan de compétences (formation), - RPO (externalisation du recrutement), - Outplacement (reclassement), - Conseil en orientation et recherche d’emploi (formation), - Portage salarial, - Test de personnalité ou d’aptitude. N'hésitez pas à nous consulter.
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Recruter, c'est bien ; fidéliser, c'est mieux : le service de Veille Mobilité proposé par R.C.V. Conseil.
Notre service de Veille Mobilité consiste à informer au plus vite nos entreprises clientes lorsqu’un de ses salariés s’ouvre au marché via les médias internet de l’emploi. Notre Cabinet rassemble et traite pour elles les informations recueillies sur les principaux réseaux du marché français :
- CV Aden : Groupe Figaro Classifieds, CV Aden rassemble les sites Cadremploi, Cadreonline et Keljob, et affiche environ 2 millions de profils avec leurs C.V., plus d’un Cadre français sur deux s’y rend chaque mois,
- Indeed : premier site emploi mondial, Indeed compte 250 millions d’utilisateurs mensuels dont plus de 6 millions de visiteurs par mois en France,
- APEC : acteur majeur de l’emploi, l’APEC compte plus de 300.000 profils de Cadres avec leur C.V.,
- Pôle Emploi : Pôle Emploi compte plus de 5 millions de profils avec leur C.V. en ligne ; c’est le premier jobboard de France,
- LinkedIn : principal réseau social professionnel comptant 25 millions de profils en France - ce qui représente 80 % de la population active - nous y avons investi dans un outil complémentaire afin d’être informés de l’ouverture active au marché des profils.
Munis de cette information (publique et accessible à tous), cela permet à l’entreprise d’adopter l’attitude et la stratégie les plus adaptées vis-à-vis de son collaborateur.
A chaque transmission d’éléments sur un salarié, et en complément de cette prestation de Veille Mobilité, l’équipe du Cabinet propose de le contacter directement et confidentiellement afin d’analyser ses motivations ; ce contact fera l’objet d’une commande spécifique.
Le télétravail permet-il d'augmenter la productivité ? Oui… à condition de trouver un point d'équilibre et de réorganiser le travail sur mesure. Tout en évitant deux écueils.
Le télétravail permet-il d'augmenter la productivité ? Oui… à condition de trouver un point d'équilibre et de réorganiser le travail sur mesure. Tout en évitant deux écueils (avec Les Echos). Télétravail, stop ou encore ? Le débat fait rage dans les entreprises. Cet été, les dirigeants de Zoom, l'un des leaders mondiaux de la visioconférence, ont décidé qu'il faudrait revenir au bureau au moins deux jours par semaine. Un peu comme si Renault imposait à ses salariés de venir travailler à vélo. Comment trouver le point d'équilibre ? Longtemps, les entreprises ont eu une réponse simple : zéro télétravail. La direction financière soutenait que ça coûtait trop cher, l'informatique que ce n'était pas assez sûr, les ressources humaines que les managers ne pourraient plus maîtriser leurs équipes. Toutes ces excuses ont volé en éclats le 17 mars 2020, premier jour du confinement décrété pour contenir une terrible épidémie. Dans une banque, les traders auxquels il avait été expliqué jusque-là qu'il était impossible d'œuvrer ailleurs que sur le floor ultrasécurisé de la Défense durent soudain travailler à domicile. Comme des millions d'autres salariés. +13 % ou -37 % ? Depuis, les employeurs ont testé moult formules. Liberté absolue, 100 % WFH (working from home), un ou deux ou trois jours par semaine, etc. Comment arbitrer ? Le juge de paix est, ou devrait être, l'efficacité. Le télétravail renforce-t-il la productivité, ou non ? Il y a une décennie, une équipe de chercheurs pilotée par Nicholas Bloom, un économiste alors à la London School of Economics, avait évalué l'effet du travail à domicile pour un centre d'appels téléphoniques en Chine. Elle avait chiffré à 13 % le gain de productivité pour les télétravailleurs. Au premier confinement, une étude japonaise a soutenu que le télétravail aboutissait, au contraire, à une perte de productivité de 37 % ! Créativité et formation Depuis, les responsables d'entreprise ont multiplié les constats. Le télétravail est efficace pour les tâches individuelles qui demandent de la concentration. Nombre de salariés emploient une partie du temps de transport économisé à travailler davantage. En revanche, le travail « présentiel » est souvent plus efficace pour deux activités essentielles de l'entreprise : tout ce qui relève de la créativité, et tout ce qui relève de la formation au sens très large, jusqu'à la prise en main d'une nouvelle équipe. Les chercheurs, eux, ont multiplié les travaux. A défaut de certitudes, il en ressort trois idées simples, même si les débats académiques sont encore plus acharnés que dans l'entreprise. Expérience positive D'abord, la grande majorité des salariés apprécient le télétravail. Une étude réalisée dans vingt-cinq pays par l'OCDE montre que les trois quarts d'entre eux (et les deux tiers des employeurs) en ont eu une expérience positive pendant les confinements. Désormais, la première question posée par beaucoup de jeunes candidats à l'embauche porte sur la possibilité de télétravailler. Ensuite, l'optimum est quelque part au milieu. En moyenne, on est moins productif quand on travaille toujours au bureau - ou jamais. Il y a donc bien un point d'équilibre à trouver. Enfin… ça dépend. La productivité du télétravail varie en fonction de la personnalité de chaque salarié et du style de leadership de chaque manager. De l'activité et de la culture de l'entreprise, voire de chacun de ses départements. Du caractère choisi ou subi des rythmes de télétravail, etc… C'est ici sans doute que se trouve la vérité ultime du télétravail. Il requiert une refonte majeure de l'organisation du travail. Et pour la réussir, pour en exploiter les immenses potentialités, il faut passer d'une organisation de masse à une organisation sur mesure. Les entreprises ont déjà dû faire cette révolution pour leurs clients. En un siècle, elles sont passées de la voiture noire pour tout le monde (Ford dans les années 1920) à la « customisation », l'expérience individualisée pour chaque client à chaque moment, en recourant notamment aux outils numériques. Elles vont devoir faire la même révolution pour leurs salariés, en trouvant pour chacun d'entre eux les conditions pour qu'il donne le meilleur de lui-même - sans y laisser sa santé ou son âme.
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Le temps de trajet, un enjeu RH désormais incontournable
Plus il est élevé, plus le taux d'absentéisme est important et la motivation des salariés en recul. Voilà pourquoi les entreprises cherchent aujourd'hui à définir des plans de mobilité ambitieux en la matière (avec Les Echos). Trois ans après la pandémie de Covid-19 et la généralisation du télétravail, certains enjeux autour de la notion de bien-être et d'équilibre entre vies professionnelle et privée ont été mis en lumière, et parmi eux la question du temps de trajet entre le domicile et le lieu de travail. Il s'agit désormais d'une problématique RH incontournable, avec des réflexions à mener concrètement concernant le plan de mobilité de l'entreprise, l'extension du télétravail ou encore la possibilité de relocaliser des salariés plus proche de leur domicile. Récemment, de nombreuses études ont permis de dresser un constat sans appel : les salariés estiment que la durée du trajet jusqu'à leur lieu de travail est un aspect majeur, qui les influence quand il s'agit d'accepter un poste et/ou de s'y maintenir. Vers une réflexion plus profonde Ainsi, trois quart des Français seraient prêts à quitter leur travail pour en trouver un plus proche et 60% estiment que le trajet est le premier critère de choix d'un emploi avant le salaire et l'intérêt du poste. D'ailleurs, plus de la moitié des Français disent qu'ils seraient prêts à accepter une baisse de salaire pour pouvoir travailler à moins de 20 minutes de chez eux. Et si l'essor du télétravail constitue une solution pour certains collaborateurs et leur a permis de limiter leurs temps de trajets hebdomadaires, il faut aussi rappeler que 60 % des actifs français occupent des postes de terrain, qui ne sont pas éligibles au télétravail. Une réflexion plus profonde sur la mobilité et sur l'élaboration de nouvelles stratégies pour réduire la distance et la durée des trajets s'impose donc pour les entreprises qui souhaiteraient réellement se saisir du sujet. Elles ont d'ailleurs tout intérêt à le faire, ne serait-ce que d'un point de vue économique. En effet, des temps de transports élevés sont associés à un taux d'absentéisme plus important et à une baisse de la motivation des salariés, qui peuvent en conséquence se montrer moins productifs. Enjeu économique, écologique et social Il a récemment été estimé que l'absentéisme a un coût important, s'élevant à plus de 100 milliards d'euros par an à l'échelle de la France. « En réduisant les distances et l'usage de la voiture, on a un vrai impact sur la baisse de l'absentéisme et du turnover, ce qui constitue des économies très substantielles pour les employeurs publics et privés », souligne Laure Wagner, cofondatrice et CEO de « 1km à pied », Logiciel RH d'analyse des trajets Domicile-Travail et de Mobilités internes géographiques. Mais il s'agit aussi d'un enjeu écologique de taille pour les entreprises. Dans la grande majorité des cas, le trajet vers le lieu de travail est trop distant pour être réalisable à vélo ou à pied (en moyenne le trajet domicile-travail moyen en France est de 13,3 km) et hors des grandes agglomérations, les options de transports en commun sont plus limitées. Résultat : plus de 72 % des salariés français font toujours leur trajet en voiture, ce qui représente un coût environnemental important. Les RH jouent de plus en plus un rôle pour proposer des solutions qui permettraient de limiter ces trajets en voiture. Stéphanie Meyer, directrice de filiale chez EM Services (RATP DEV), un cabinet de conseil opérationnel en transport et mobilité durable, a vu cette tendance se préciser ces dernières années : « Les RH nous sollicitent sur le sujet de la mobilité, avec des questions de recrutement et fidélisation. Ils souhaitent généralement intégrer la thématique de la mobilité dans une réflexion plus large sur les facteurs d'attractivité, la rétention des talents, et sur le fait d'inclure des forfaits mobilité aux packages financiers. Mais nous sommes aussi sollicités par les interlocuteurs chargés de la responsabilité sociale d'entreprise (RSE) dans les entreprises, qui voient le plan de mobilité employeur comme un levier et souhaitent mettre en place des actions de mobilité durable », explique-t-elle. Montrer l'exemple d'en haut Alors quelles sont les solutions qui peuvent être mises en place ? Avec ses équipes, Stéphanie Meyer, aide les entreprises à définir des plans de mobilité ambitieux, en faisant un état des lieux très précis des modes de déplacement des collaborateurs, en développant des solutions alternatives à la voiture individuelle adaptée au contexte de l'organisation (service de navettes, covoiturage, forfait mobilité durable etc…), et en communiquant pleinement sur le sujet. « Si vous voulez que le plan de mobilité employeur se concrétise, il faut animer la thématique et communiquer dessus auprès des collaborateurs. La mobilité durable ne porte pas simplement sur des éléments financiers incitatifs. Il faut aussi montrer l'exemple d'en haut : si le top management vient à vélo et abandonne sa voiture de fonction, cela incite les collaborateurs à faire de même », assure Stéphanie Meyer. Laure Wagner et ses collègues aident les employeurs multisites à identifier les salariés qui pourraient faire le même travail plus près de chez eux. Le logiciel proposé par «1km à Pied» permet à certaines entreprises, comme Auchan, d'être « proactives » sur les mobilités inter-magasins qui rapprochent les collaborateurs de leur domicile. D'autres organisations proposent aux salariés du siège de télétravailler depuis une agence de terrain à proximité, ce qui a l'avantage de créer des liens entre les cadres du siège et les opérationnels terrain. «Réduire la distance du trajet domicile-travail répond au besoin des salariés et réduit leur budget carburant. En moyenne les salariés réaffectés gagnent 10,2 km matin et soir, ce qui réduit aussi la fatigue et l'absentéisme », conclut-elle.
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Construction, matériaux : la porte étroite
Le BTP européen doit se préparer à un recul de l'activité l'an prochain. Les freins des deux dernières années laissent la place à une demande insuffisante qui réduit la visibilité, estime ING (avec Les Echos). C'est au pied du mur qu'on voit le maçon, si toutefois il se présente, aurait-on pu ajouter ces deux dernières années. Environ 30 % des firmes européennes de BTP se plaignent encore aujourd'hui d'un manque de main-d’œuvre, selon les enquêtes de la Commission, soit deux fois moins qu'au pic de l'an dernier. L'économiste d'ING Maurice van Sante constate qu'elles sont désormais pratiquement autant (28 %) à ressentir l'insuffisance de la demande. Le secteur devrait, selon lui, passer la porte étroite de l'année avec une « production » stable dans l'Union (après +2,7 % en 2022) grâce à l'imposante traîne des carnets de commandes (8,9 mois à fin juin). Mais l'activité devrait diminuer de 1 % l'an prochain, la France (-0,5 %) reculant moins que l'Allemagne (-1,5 %), et l'Espagne faisant exception (+2 %). Le mur des faillites, lui, se rapproche.
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Les dernières missions confiées à R.C.V. Conseil
Pour votre information, vous trouverez ci-dessous quelques recrutements qui ont été confiés à notre Cabinet au mois de septembre dernier : - Chargé d'Affaires en production et pose de menuiserie aluminium et métallerie (Ile-de-France), - CSPS Niveau 1 conception et réalisation (Montpellier), - Responsable de département Ingénierie de la Sécurité Incendie pour un Centre de recherche et d'innovation dans le béton (Eure-et-Loir), - Technicien de maintenance pour les réseaux d'eau (Paca), - Directeur Technique en rénovation énergétique (Lyon), - Responsable d'Activité en pose de cloisons pour chambres froides (Ile-de-France), - Chargé d'Affaires et Conducteur Travaux en travaux de peinture et second oeuvre (Ile-de-France), - Directeur Travaux en travaux maritimes et fluviaux (confortements et minages) (Pays-de-la-Loire), - Responsable Pôle Graphique en ingénierie des nouvelles mobilités (Ile-de-France), - Responsable Electricité Instrumentation Automatisme pour un industriel (Lorraine), - Directeur d'Exploitation en dépollution de sols (Bordeaux), - Commerciaux en rénovation de sols, - Chargé d'Affaires en Bâtiments industriels (Bourgogne et Franche-Comté), - Chargé d'Affaires en maitrise d'oeuvre (Ile-de-France), - Dessinateurs Projeteurs en ingénierie (Nantes et Bordeaux), - Chargé d'Affaires en Enveloppe du Bâtiment (Ile-de-France),...
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Toute l’équipe du Cabinet R.C.V. Conseil : Régis, Nathalie, Louis-Marie, Gwénaëlle, Marie, Mailys, Pierre-Antoine, Marie, Louis-Marie, Amélie et Marc-Henri se tiennent à votre disposition. Bien cordialement, Régis de la CROIX-VAUBOIS Président 144 Bureaux de la Colline - 92213 Saint-Cloud cedex Tel : 01.55.38.75.00 Le Forum - 27 rue Maurice Flandin - 69444 Lyon cedex 03 Tel : 06.46.36.11.66 contact@rcv-conseil.com www.rcv-conseil.com LinkedIn R.C.V. Conseil
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