DOSSIER 



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Conservons des réseaux sociaux réels !

Un salarié équilibré doit savoir gérer son temps et ne pas se laisser dévorer par ses responsabilités professionnelles. L'addiction au travail est devenue l'une des grandes maladies de notre société qui est, paradoxalement, encore plus malade du chômage. Au-delà des facteurs psychologiques, cette forme de névrose est facilitée par le numérique : transporter le bureau à la maison est simple comme un laptop, une tablette ou un iPhone. Un « workaholic », le plus souvent, cumule son syndrome avec une addiction à son portable.

Dans son best-seller « Vivre la vie que vous choisissez », édité par le « Wall Street Journal », Stewart Friedman, professeur de management à la Wharton School, recommande, entre autres, de se désintoxiquer du digital. Beaucoup d'entre nous sortent leur smartphone de leur poche dès qu'ils ont dix minutes d'attente - que dis-je, trente secondes devant un ascenseur - pour vérifier leurs mails, consulter une appli, jeter un oeil sur leur compte Facebook, Twitter ou Instagram. Au XXIe siècle, le travail et les réseaux sociaux rognent sur les autres temps : celui, crucial, de la rêverie solitaire ; celui, vital, des relations avec les autres. Les réseaux sociaux, en mode numérique, ne remplaceront jamais les relations en chair et en os.

Chacun d'entre nous aurait intérêt à lire, cette passionnante étude menée depuis soixante-quinze ans par la Harvard Medical School. Le psychiatre qui la dirige, Robert Waldinger, nous enseigne une chose simple. Les humains les plus heureux et qui vieillissent en bonne santé ne sont ni les plus riches ni les plus célèbres : ce sont ceux qui ont des relations humaines nombreuses et de qualité, qui ont des amis, des amours, et qui peuvent compter sur quelqu'un.

Dans notre métier de recruteur, rien ne remplacera jamais le temps passé en face à face avec nos clients et avec nos candidats…   
  


Régis de la CROIX-VAUBOIS
Président


 

Le Chargé de Recrutement de la quinzaine

Stéphen de MASCUREAU : titulaire d'une Licence d'Histoire et d'un Master 2 Sécurité Défense obtenu à Paris II Assas en 2014, il a poursuivi son cursus au sein de l'Ecole de Guerre Economique de Paris en y obtenant le MBA d'Intelligence Economique (géoéconomie, négociation internationale, conquête de marchés, communication de crise, lobbying, cyber-sécurité, veille stratégique) ; il y a mené une mission comme Chef de Projet en Intelligence économique pour un grand avionneur. Il a ensuite réalisé une mission de Chef de Projet anti-piratage pour un média télévisuel. Il est Chargé de recrutement chez R.C.V. Conseil sur les activités Génie Civil, Industries, TP, VRD, Sols, Travaux Spéciaux, Environnement, Contrôle Technique, Structures.


3 questions à Stéphen de MASCUREAU :

Titulaire d'une Licence d'Histoire et d'un Master 2 Sécurité Défense obtenu à Paris II Assas en 2014, vous avez poursuivi votre cursus au sein de l'Ecole de Guerre Economique de Paris en y obtenant le MBA d'Intelligence Economique et y avez mené une mission comme Chef de Projet en Intelligence économique pour un grand avionneur ; vous avez ensuite réalisé une mission de Chef de Projet anti-piratage pour un média télévisuel. Pourquoi vous orienter maintenant dans le recrutement ?
L’intelligence économique consiste à comprendre un environnement donné par la recherche d’informations, leur analyse, puis leur diffusion et/ou la mise en place d’actions pour répondre aux besoins. Par conséquent, ces méthodes s’appliquent dans la plupart des secteurs d’activités et particulièrement dans celui du recrutement, et du recrutement par chasse de tête. Dans un environnement de plus en plus ouvert, où la masse d’informations est considérable mais souvent anarchique, où le trop d’informations peut tuer l’information, les outils de l’intelligence économique permettent de se donner les moyens de trouver l’information utile et, dans le cas du recrutement, le meilleur candidat adapté au poste.

Quels atouts et compétences vous apportent votre formation et vos expériences dans vos nouvelles fonctions de Chargé de recrutement ?
L’École de Guerre Économique forme ses étudiants aux métiers de commerciaux, de lobbyistes/influenceurs, d’analystes notamment sur les nouvelles technologies. La plupart de ces compétences s’avèrent de plus en plus nécessaires dans le métier de Chargé de recrutement. Outre la capacité à analyser les environnements, les postes et les fonctions, ainsi que les organisations, il nous faut être capables de mener rapidement et complètement les campagnes d’investigation, de sourcing, qui sont aujourd’hui essentielles pour mener à bien les recrutements sur les fonctions pénuriques qui nous sont demandées.

Qu’est-ce qui vous a convaincu de rejoindre le Cabinet R.C.V. Conseil ?
Dès nos premiers échanges, j’ai été séduit par les méthodes très rigoureuses du Cabinet dans la réalisation de ses missions et par son expertise forte dans les secteurs et fonctions sur lesquels il intervient. De plus, l’aspect humain étant un élément essentiel, l’ambiance positive et exigeante, le partage de valeurs fondamentales m’ont convaincu d’y trouver un cadre idéal pour y faire mes preuves. 


 
 

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R.C.V. Conseil, l'ensemble de nos prestations :

- Recrutement,
- Prestation de Chasse (contrat de mission), 
- Dossier d’Evaluation (approche directe),
- Prise (contrôle) de références,
- Bilan de compétences (formation), 
- RPO (externalisation du recrutement),
- Outplacement (reclassement), 
- Conseil en orientation et recherche d’emploi (formation), 
- Portage salarial, 
- Test de personnalité ou d’aptitude.

N'hésitez pas à nous consulter.


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Reprise confirmée de l'emploi des cadres en 2016 !

Selon l’APEC, la reprise amorcée en 2015 au niveau du recrutement des cadres devrait se confirmer. Plus confiantes, les entreprises pourraient embaucher jusqu’à 200.000 cadres en 2016 (avec ApecRH).

Une croissance à deux chiffres. C’est ce que devrait enregistrer le marché de l’emploi des cadres en 2016, confirmant ainsi le cru déjà positif de 2015. En effet, selon les résultats de l’enquête annuelle sur les perspectives de l’emploi cadre de l’APEC, « la hausse de ce marché pourrait atteindre au global + 10 % en 2016 et jusqu’à + 14 % pour les jeunes diplômés, qui pourraient tout particulièrement bénéficier cette année de la reprise amorcée en 2015 ». Les entreprises prévoient de recruter globalement 182.000 à 200.000 cadres, contre 181.800 en 2015, l’année dernière s’étant soldée par une hausse effective de 7 % des recrutements. Ces intentions traduisent concrètement des indicateurs au vert et une confiance en l’avenir qui s’améliore dans un contexte économique un peu moins défavorable.

La plupart des secteurs économiques sont bien orientés
Contrairement à l’année 2014, caractérisée par un marché de l’emploi cadre à plusieurs vitesses, la dynamique à l’œuvre depuis 2015 concerne quasiment tous les secteurs de l’économie. Certes, les services, resteront la « locomotive » du marché, avec une progression qui pourrait atteindre + 11 % avec des postes particulièrement nombreux à pourvoir dans les activités informatiques, télécommunications, ingénierie, recherche & développement, mais aussi dans les secteurs juridiques, comptables-conseil, gestion des entreprises ou encore banque-assurance. Néanmoins, l’industrie tirera aussi son épingle du jeu, avec une hausse des embauches annoncées jusqu’à + 9 %. Une croissance que connaitront aussi le secteur de la construction avec + 7 % et le secteur du commerce avec + 8 %.

Concernant les fonctions, si l’informatique, toujours en tête devrait, à elle seule, dépasser les 42.000 embauches de cadres, les fonctions commerciales (jusqu’à 37.500) et études – recherche & développement (32.400) la suivront de près. Tandis que la demande pour des postes administratifs, RH, communication et juridique retrouverait de hauts niveaux de recrutement, proches de ceux atteints en 2006 – 2008 (20.000).

En termes de profils, les cadres ayant 1 à 10 ans d’expérience resteraient les plus courtisés par les recruteurs. En 2016, les jeunes diplômés, qui avaient déjà profité d’une situation plus favorable en 2015, bénéficieraient de l’amélioration du marché. Ainsi, de 39.500 à 43.400 débutants pourraient être embauchés durant les 12 prochains mois, contre 38.200 en 2015 soit une hausse de + 9 %, pour retrouver le niveau d’embauches de 2012.

Enfin, presque toutes les régions de notre pays seraient bien orientées en 2016, l’Ile-de-France l’Auvergne, Rhône-Alpes, le Nord-Pas-de-Calais, la Picardie et la région PACA totaliseraient près de 3 embauches de cadres sur 4. Seules trois régions devraient afficher une stagnation de leurs recrutements de cadres : Bourgogne, Franche-Comté et Normandie.

Horizon positif jusqu’en 2018
Selon le modèle économétrique de l’APEC, la tendance à la hausse devrait se poursuivre en 2017 avec 207.000 recrutements de cadres, ainsi qu’en 2018, avec 220.900 embauches, le marché renouant avec les volumes d’avant crise. Ce scénario se réaliserait sous le triple effet d’une croissance progressive, de la reprise de l’investissement productif et départs à la retraite plus importants. Ces prévisions sont toutefois soumises à différents aléas : environnement économique international, environnement politique et social national, menace terroriste,…

Espérons que personne ne s’oppose à la diffusion du carburant de la croissance dans l’économie française !... 
 
 

 

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Attractivité : la France de plus en plus distancée en Europe

Le nombre de projets d’investissements étrangers dans l’Hexagone a reculé de 2 % l’an passé. En Europe, ils ont pourtant nettement progressé (+14 %) en 2015 (avec Les Echos).

« Peut mieux faire. » Le bulletin scolaire de la France en matière d'attractivité laisse encore à désirer. Le baromètre annuel publié par le Cabinet EY, montre que la France reste le troisième pays accueillant les investisseurs étrangers sur le Vieux Continent, mais qu'il ne profite pas de la soudaine envie d'Europe de leur part. Le nombre de projets d'investissements recensés par EY a reculé de 2 % l'an passé, à 598, en France alors qu'il a progressé de 14 % en Europe, à 5.083. Quant aux emplois liés à ces investissements, ils ont grimpé de 8 % en France (13.639 postes créés), mais de 17 % sur le continent (217.696).

« La tendance européenne est très dynamique avec un nombre record d'investissements étrangers sur le Vieux Continent », note Marc Lhermitte, associé en charge de l'attractivité de EY. « Les économies des pays émergents connaissent des difficultés et, dans ce contexte, l'Europe est vue comme rassurante et stable, juge-t-il. Mais, si la France s'accroche, elle perd tout de même du terrain face à l'Allemagne et à la Grande-Bretagne. »

Toujours les mêmes freins
En effet, le Royaume-Uni caracole en tête du classement, tant en nombre de projets (1.065) qu'en nombre d'emplois créés (42.336), suivi par l'Allemagne (946 projets et 17.126 emplois). L'écart se creuse. Par exemple, les Chinois ont investi dans 74 projets de l'autre côté du Rhin et dans 68 projets outre-Manche en 2015. La France n'en a accueilli que 14. De même, la France sort des cinq premiers pays européens dans lesquels s'implantent le plus les centres de décision. Seuls 11 projets de centres de décision ont été présentés dans notre pays l'an dernier, contre... 150 en Grande-Bretagne. Or, le nombre de centres de décision implantés en Europe a progressé de 80 % l'an passé. La France ne profite donc pas de l'embellie. Le groupe parapétrolier Technip, qui vient de fusionner avec FMC, a d'ailleurs décidé récemment d'installer son siège social à Londres.

La performance de la France n'est toutefois pas décevante dans tous les domaines. Le pays reste le premier en Europe à accueillir les investissements industriels. C'est le cas depuis dix ans et encore en 2015, avec 212 projets, contre 142 par exemple en Allemagne. Mais il y a un bémol : « Il s'agit en majorité de projets d'extension de capacités, ­souvent petits », note l'expert d'EY. 
 

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Les marques les plus achetées...

Selon un classement établi par Kantar Worldpanel, les marques les plus achetées en France sont Françaises. Parmi elles, Herta, Soignon ou encore Président (avec Economiematin).

7 marques nationales dans le top 10
Les Français achètent Français. C’est ce que révèle le classement établi par Kantar Worldpanel, expert en gestion et analyse des données, dans une étude. En 2015, la marque la plus achetée en France a été Herta (ses produits ont été choisis par 83,4 % des ménages français), « « Merci aux consommateurs Français de leur confiance renouvelée pour la 3ème année consécutive ! » s’est félicitée Catherine Petilon, Directrice Marketing Herta. Viennent ensuite Fleury Michon, Président, Coca-Cola, Panzani, Harry’s, Cristaline, Bonduelle, Elle & Vire et La Laitière.

Ce ne sont pas moins de 7 marques nationales qui se hissent au sein du top 10 des marques favorites des Français. « Au sein du top 10 des marques les plus achetées en France on compte de nombreuses marques françaises, l’engouement des ménages pour le ‘fabriqué en France’ est plus que jamais vérifié », souligne Gaëlle Le Floch, Strategic Insight Director de Kantar Worldpanel.

Le succès de Coca-Cola ne se dément pas
De son côté Coca-Cola semble indétrônable. Si elle n’arrive qu’en 4e position des marques préférées des Français et perd une place par rapport à l’année précédente, la marque américaine de soda reste la plus choisie au monde et continue d’être la marque préférée dans 10 pays.

Mais il faut reconnaître, qu’à l’échelle mondiale, les consommateurs privilégient les marques locales. « Ce fait est notamment remarquable en Chine - où elles représentent 75 % des actes d'achat, suivie de l'Indonésie (61 %) et de l'Inde (57 %) », décryptent les auteurs de l’étude. « Les trois marques locales les plus performantes en 2015 sont d'origine chinoise : Yili, Mengniu et Bright ».

 

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Régis, Louis-Marie, Virginie, Amélie, Catherine, Stéphen et Nathalie.
Et Xavier PIETTRE.

Toute l’équipe du Cabinet R.C.V. Conseil se tient à votre disposition.

Bien cordialement,


Régis de la CROIX-VAUBOIS
Président
144 Bureaux de la Colline - 92213 Saint-Cloud cedex
Tel : 01.55.38.75.00 - Fax : 01.55.38.75.09
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